VALY CHRISTINE OCEANY : INTERVIEW EXCLUSIVE !!!

Publié le 31 Janvier 2009

Bonjour Valentina,
 
Vous êtes écrivaine et blogueuse, c'est par le biais de la blogosphère que nos chemins se sont croisés. J'ai utilisé votre blog http://valychristineoceany.unblog.fr/  et le lien qui m'a dirigée vers vos oeuvres sur le site de la Fnac (http://recherche.fnac.com/ia653510/V-C-Oceany) pour un peu mieux vous connaître avant de me prêter avec vous à ce jeu de l'interview personnalisée, maison, à laquelle vous semblez impatiente de participer.
Valy Christine Oceany, vous êtes l'auteure de plusieurs oeuvres. " Quelque part en Roumanie" (nouvelles), "D'un pays l'autre". "La libido primitive est en attente d'édition et "la Cuillère d'Amertume" est en cours d'écriture. (N'hésitez pas à me détromper si je me trompe ! Et je me permets de rappeler ici que je n'ai pas eu l'occasion ni le temps encore de lire vos livres.
 
Sur la 4ème de couv' de "D'un pays l'autre", une phrase a retenu toute mon attention, parce qu'elle me touche aussi personnellement : "Partir n'est pas quitter. Partir, c'est poursuivre sa voie et accomplir sa destinée quelle que soit l'adversité. "
Aussi, j'ai décidé que la colonne vertébrale de cet interview pas comme les autres sera le terme "Partir"
 
 
Vous êtes PARTIE la Roumanie, votre pays d'origine, dans la trentaine, après la chute de Ceausescu ? Pourquoi ce départ, alors que vu d'ici en Occident, la situation Roumaine devait "s'améliorer" ?

VCO :Bonjour Géraldine,

J’essaie de répondre à vos questions au plus près de ma vérité sans pour autant avoir la prétention de révéler la vérité, elle est très complexe, la vérité.

La phrase de la quatrième couverture à laquelle vous faites référence commence comme ça : « Partir ce n’est pas quitter… » Pour moi, quand on part, on ne part pas de chez soi, on part vers soi. Mon pays de naissance biologique est la Roumanie, mais je ne me sentais pas « à moi ». Je me manquais, et une fois les frontières ouvertes avec la chute de Ceausescu, je suis partie à ma recherche, aller vers moi. J’ai la conviction intime que nous avons tous un endroit, indépendamment de notre lieu de naissance, où l’on se sent plus ou moins appartenir à soi, où l’on se sent « en soi ».

Je suis partie pour la Belgique, ma conviction intime, ma voix intérieure me conduisait là-bas. Je suis restée six mois en Belgique, à Liège. J’ai des souvenirs uniques de ce pays accueillant et chaleureux.



Pour vous, PARTIR de Roumanie était une envie, une nécessité, une obsession, une vieille évidence ou un coup de tête ?

VCO : Une conviction. On a un lieu de naissance physique et un lieu de naissance spirituelle. Parfois ces deux endroits coïncident, parfois, non. Mon lieu de naissance spirituelle est plutôt la route, suivre sa trajectoire par où elle passe. La mienne est passée par la Belgique, en suite la France, et après, je ne sais pas encore. Certes est que je vais prendre la route à bientôt.

 


Quelle petite voix vous a chuchoté que votre voie devait se poursuivre ailleurs, PARTIR en France, et pourquoi Orléans en particulier ?

VCO : La petite voix me disait qu’on a qu’une seule vie, et que si je ne partais pas à ma rencontre dans cette vie-là, je n’aurais pas une autre occasion. Comme je le dis un peu plus haut, je suis partie pour la Belgique, mais, sur ma route j’ai rencontré un homme et son amour. Ils habitaient tous les deux à Orléans. (sourire)

 


PARTIR... Cela veut dire un départ et forcément une arrivée... Contre quelles adversités vous êtes vous battue ?

VCO :Non, Géraldine, je ne suis pas d’accord. Pour moi, l’arrivée c’est la mort, c’est inexistence. Imaginez une ligne droite avec un point de départ et un point d’arrivé, la ligne n’existe plus après le point d’arrivé. Les adversités ? S’adapter aux structures administratives du pays, apprendre le dessous de ces structures, cette ossature invisible pour moi et si visible pour les indigènes. Je venais d’une société immuable, immobile, il m’a fallu apprendre le mouvement. Une autre adversité venait de moi-même, m’accepter et m’exprimer avec ce que j’étais sans me sentir seule. Encore aujourd’hui, pendant que je m’exprime il m’arrive de me sentir seule.


Voilà presque 20 ans que vous êtes PARTIE de l'Est pour l'Ouest. Avez vous l'impression d'avoir accompli votre destinée ? Quelles furent vos déceptions, quelles furent vos bonnes surprises, vos réussites !

VCO : La déception ? C’est la politique actuelle. J’ai l’impression d’être tirée en arrière, comme les vagues d’une mer déchaînée qui empêche mon avancée. On peut ignorer la politique d’un pays, mais elle ne nous ignore pas car elle est à l’image d’une pieuvre qui s’insinue dans notre vie quotidienne.

Si j’ai l’impression d’avoir accompli ma destinée ? Je suis sur le point de l’accomplir, je suis quelque part entre le point de départ et le point d’arrivé, j’avance. En tout cas ma route se devait de passer par la France, par la langue française, et la bonne surprise c’est que j’ai l’occasion de travailler les deux langues, en traduction, http://valychristineoceany.unblog.fr/traductrice-polyvalente-roumain-francaisfrancais-roumain/

mais aussi enseigner le roumain aux Français souhaitant s’installer en Roumanie, http://valychristineoceany.unblog.fr/cours-de-roumain-debutants-et-avances/, enseigner le français aux étrangers souhaitant s’installer en France.

 

 

Bon, vous l'avez remarqué, nous sommes sur un blog littéraire. Donc les questions suivantes porteront sur... la littérature... la votre et celle des autres... A PARTIR de quand le besoin d'écrire est il devenu une évidence ? Comment s'est décidé la langue et le contenu de vos livres ?

VCO : Je suis née dans une famille austère presque analphabète. J’évoque cela dans mon roman « La libido primitive ». J’ai grandi sans livres, sans jouets. J’ai découvert les livres quand je suis rentrée à l’école, à six ans. Dès que j’ai appris à lire, j’ai lu d’un trait tous mes manuels d’école de l’année. Puis, à un moment donné, je me suis dit que si j’écrivais j’aurais encore plus des choses à lire. Vu que je n’avais pas d’autres livres que ceux de l’école, ma soif pour la lecture ne pouvait plus être satisfaite. Alors, je me suis mise à écrire la suite d’histoires imprimées dans les livres scolaires ou, à défaut, j’inventais d’autres à côté. Quand je dis cela, c’est que j’écrivais directement sur les livres, je n’avais pas d’autre papier. Cela me permettait d’avoir encore plus de lecture. C’est drôle, non ?

J’ai découvert l’existencede la bibliothèque vers douze ans et je me suis inscrite à l’insu de mon père. Il détestait les livres. La bibliothèque comblait mon appétit pour la lecture mais pas celui de l’écriture. Je me souviens, pour combler ce besoin, j’écrivais des lettres à une amie imaginaire que j’avais nommée Christine. En effet, je m’écrivais « à moi ». Pour la langue, je n’ai pas décidé vraiment. Le français, je l’ai étudié à l’école. Ma première nouvelle francophone s’appelle « le départ » lien ici http://valychristineoceany.unblog.fr/2008/11/25/mon-depart/  qui fut publiée dans la revue «  Ecrire aujourd’hui » en 1997. Je me sens plus à l’aise en écriture avec la langue française qu’avec la langue roumaine.



Pour vous, écrire vos premiers livres n'a t-il pas été une occasion de REPARTIR dans vos souvenirs, dans votre histoire, dans vos racines ?

VCO : Si, et emmener le lecteur avec moi, lui faire découvrir certaines facettes de mon pays, de mon histoire, de mes racines, de mon âme.

 

Une fois l'écriture achevée, le manuscrit PART lui aussi
"poursuivre sa voie et accomplir sa destinée quelle que soit l'adversité". Racontez nous comment cela s'est passé, comment a abouti la première édition, puis la 2ème.

VCO : Le premier livre, « Quelque part en Roumanie » c’est un recueil de nouvelles qui peut être considéré comme un document historique sur l’époque de Ceausescu, le livre suivant c’est un roman « D’un pays l’autre » .J’ai rencontré mon éditeur, Mr Paul Naget (site en travail) à une soirée littéraire. Je ne le connaissais pas. Je l’ai abordé avec mes manuscrits sous le bras. À ma demande s’il acceptait de lire mes « papiers » il a répondu positivement, et, il a publié très vite mes deux livres. Pour moi, faire publier mes livres, a été relativement facile, le plus difficile c’est le chemin vers les libraires, vers les médias, vers le lecteur. Mes livres souffrent de la méconnaissance du public.

J’aimerais que l’on me dise : votre livre c’est un « bouse », votre livre c’est « un merveille », votre livre est nul, votre livre est ceci ou cela, n’importe, du moment que l’on me dise quelque chose je peux avoir la conviction qu’il a été lu. Ce n’est pas le cas pour l’instant. Mes deux livres reposent sagement sur l’étagère du libraire ou dans son ordinateur dans le silence le plus absolu. Voilà l’adversité dont mes livres traversent en ce moment même. Je suis triste pour eux, ce qui ne m’empêche pas de leur faire confiance. Ils trouveront les lecteurs au moment venu, ou les lecteurs les trouveront, il y aura un croissement, je suis certaine.

 

La lecture est aussi un bon moyen de PARTIR PAS CHER !!! Où vous emmène la lecture, quelle littérature lisez vous ?

VCO : Géraldine, j’adore les classiques français, et j’estime que la France reste un pays, malgré les apparences, profondément classique. Pour revenir à votre question voici quelques exemples des écrivains fétiches :

Emile Zola qui m’a emmené en France, Dostoïevski qui m’a conduit en Russie, Grondahl qui m’a guidé vers Danemark, Jane Austen m’a porté en Angleterre, Jelinek en Allemagne, Tunström en Suède, Ethaire en Belgique. En les lisant, ils m’emmènent dans les plis de l’âme de leur pays. La culture et la littérature d’un pays sont influencées par les traditions, les mentalités, les coutumes propres au pays. J’aurais aimé les avoir lu en version originale. Pour Zola et Ethaire s’est fait, pour les autres, il me faudrait une deuxième vie (sourire).


Oups, je ne vous l'ai pas dit, mais vous avez gagné un ticket gagnant pour PARTIR six mois sur une île déserte avec des bagages légers, légers.... Pas plus d'un chapeau, de la crème solaire pour les premiers jours et 3 livres. Lesquels emmenez vous ?

VCO : Il me semble que c'est peu trois livres pour une période de six mois, je préfère donc prendre trois dictionnaires : français, anglais et le dictionnaire des expressions. Si jamais, un bateau passe par là, j’aimerais pouvoir communiquer avec l’équipage.

 

Heu, question subsidiaire juste par curiosité... Pourquoi Oceany dans votre pseudo !!!

VCO : Pourquoi Océany ? Valy est le diminutif de Valentina, facile à deviner, Christine est mon amie « à moi », facile aussi, mais pourquoi Océany ? Le nom de jeune fille de ma mère est Copocean. J’ai pris la deuxième partie de son nom Ocean et j’ai rajouté l’y. J’aime cette lettre y, qui cherche s’implanter dans la terre ( la partie basse) et en même temps s’élancer vers l’horizon avec ses deux branches. On y voit presque le soleil se lever entre les deux branches. L’Y c’est plutôt mon caprice artistique. 

Je me permets d'ajouter... Vous avez remarqué que ce billet est truffé de liens... Si votre curiosité littéraire est attisée, cliquez sur ces deux couvertures de livres, elles vous mèneront vers des sites commerciaux. Et bien entendu, rien ne vous empêche de vous rendre chez votre libraire de quartier pour passer votre commande et perpétuer la vie des librairies de quartiers.

                                               

 

                                  

 

 




 L'avis d'A Girl From Earth sur "Quelque par en Roumanie"
L'avis d'A Girl from Earth sur d'un Pays à l'autre

PS : Je vous invite paticulèrement a aller lire le magnifique article écrit par Valy sur les relations blogosphèriques dans lequel, bien sûr, elle vous renvoie ici Mais vraiment, elle met des mots tout à fait juste sur l'aventure qu'est un blog pour son auteur. cliquez ICI

Rédigé par Géraldine

Publié dans #Interviews exclusives !

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A
Hello miss!Pour les news à suivre à ton retour, j'ai chroniqué Quelque part en Roumanie ici: http://lecture-sans-frontieres.over-blog.com/article-30068425.htmlJe recommande d'ailleurs chaleureusement ce recueil de nouvelles pour découvrir la plume de Valy et cette période trouble de l'histoire roumaine.
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G
<br /> @ Agfe ; de passage chez moi, dimanche libre. Donc blog puis mac do et ciné. je te mets en lien depuis l'interview . Bon WE prolongé !<br /> <br /> <br />
A
Ayé! J'ai fini "D'un pays l'autre"! Je pense que je vais enchaîner sur le recueil de nouvelles dès que j'aurai l'occasion de mettre la main dessus. Je crois que ça ne fera pas de mal qu'on m'éclaire historiquement sur la Roumanie... Ca promet d'être intéressant en tout cas!
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G
<br /> Bon, je vais venir voir sur ton blog, il doit y avoir quelques billets flambants neufs !<br /> <br /> <br />
V
Bon, j'ai qu'à assumer la "différence".bises amicales,V.PS-J'ai vu vos tableaux,ils sont aussi magnifiques, comme vos articles. PS2-je n'interviens plus sur les couleurs, je ne sais pas comment il va s'installer chez vous ce commentaire...on verra.
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G
<br /> Celui ci est en couleur "normale" ! Merci pour les compliments sur mes tableaux. Mais ils commencent à faire partie de l'histoire ancienne. Je n'ai pas tenu un pinceau et n'en ai plus aucune<br /> envie depuis un an et demi. Mon A.V.C, puis les livres et le blog ont modifié la donne je suppose.<br /> <br /> <br />
V
Ah, Géraldine, je ne sais pas ce que j'ai fait pour que mon commentaire soit en blanc, vous pouvez peut-être le mettre à la même couleur que les autres, s'il vous plait merci pour le lien,et, oui,c'est la fée qui m'a apporté les bonnes nouvelles sur mon blog, suis ravie,amitié,V.
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G
<br /> Hélas, je te peux intervenir sur la couleur de votre message qui est arrivé en vert chez moi ! Mais peu importe !<br /> <br /> <br />
V
@AlainCe qui me semble scandaleux, ce que sur les sites de Virgil Gheorghiu, 25ème heure,Lydia Lamour ne figure pas en tant que traductrice de cette oeuvre. Le travail de traducteur c'est un travail titanique de création et de rendre avec fidélité l’esprit d’un livre, le style de l’écriture, l’atmosphère. C’est dommage que son nom ne figure pas sur les fiches du livre (Fnac,etc), à moins que je n’ai pas fait les bonnes recherches, Amicalement, Valy-ChristinePS-C'est à moi que vous conseillez de démenager 40 fois ? Je n'ai pas compté les fois de démenagement, mais, je m'applique, je vous tiens au courant,, amitié,V.<br />
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G
<br /> Bonjour Valy,<br /> <br /> je vais prévenir Alain de votre réponse. En ce moment, je sers de lien entre mes "commentateurs". Je pense qu'il vous déconseille de déménager 40 fois. Mais pourquoi, je ne sais pas.<br /> Tiens, une amie bloggueuse m'a dit être en train de lire un de vos livres suite à notre interview. J'en suis contente pour vous et heureuse pour moi, cela me fait me sentir un peu utile.<br /> <br /> Bonne journée<br /> <br /> <br />
A
J'ai oublié de dire à Livy qu'elle ne fasse pas comme notre ami Bernard Clavel qui a déménagé 40 fois!
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A
merci Géraldine pour cette nouvelle interview qui nous permet de mieux connaître Valy.J'étais allé,il y a quelque temps, sur son blog et je n'avais pas eu le temps de lui mettre un com pour lui dire qu'une grande amie de ma mère Lyvia Lamour était roumaine et avait traduit la 25iémé Heure de Giorgiu en Français.Voilà,c'est fait par votre intermédiaire.
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E
Bonjour Géraldine! Meci de votre visite, mais je n'en suis qu'à mon "premier" (moi aussi!) livre, le second est accepté mais je ne le laisserai sortir qu'en fin d'année ou l'année prochaine (faut faire durer le plaisir).Prenez donc votre temps pour savoir si vous aves un "coup de coeur" avec  moi, et c'est volontiers que je vous répondrai!J'ai aussi parcouru rapidement une partie du blog de Valy, remarquable! Et sensible, j'aime beaucoup!
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E
Ah Géraldine, il me semble que vous avez "du nez" pour vos coups de coeur! Cette dame a certainement des choses à dire et la rage de les dire! Je suis impressionnée par sa gourmandise de lire qui l'a poussée à s'écrire elle-même des histoires! Et oui, comme elle, je n'en finis pas de partir, et ne considère pas ça DU TOUT comme une fuite, ou un abandon, elle l'a compris aussi!Bravo pour cette belle interview...
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G
<br /> Merci... "vous n'en finissez pas de partir..." ;Il semble que nous fassions partie de cette même famille de ceux qui partent pour voir l'ailleurs ou pour ne pas ce complaindre dans une médiocrité<br /> qui ne nous convient pas. partir pour conquérir, partir comme un nouveau départ.<br /> Sincèrement,<br /> Géraldine<br /> Je viens de faire un tour rapide sur votre blog, insomniaque, j'attends que mon somnifère agisse. Mais si vous êtes écrivains, peut-êre accepteriez vous un jour de devenir une victime concentante<br /> de mes interviews ?<br /> <br /> <br />
A
J'ai lu cette interview avec beaucoup de plaisir, d'autant plus que j'ai lu tous les ouvrages de l'auteure!Très heureux d'en avoir plus appris sur son parcours et sa manière d'envisager l'écriture! Je vous conseille ses truculuentes nouvelles qui nous donnent une belle vision de sa roumanie."La libido primitive" est plus bouleversant, plus émouvant encore...Bonne continuation, Valy-Christine!
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G
<br /> <br /> personnellement, je vous remercie pour votre passage sur mon blog.<br /> Et au nom de Valy Christine, je vous remercie pour ce magnifique et sincère témoignages de lecteurs. N'hésitez pas à aller lui dire votre admiration directement sur son blog, rien ne lui fera<br /> plus plaisir je pense :http://valychristineoceany.unblog.fr/<br /> Sincèrement,<br /> <br /> Géraldine<br /> <br /> <br /> <br />
C
Lire, c'est déjà partir ! J'aime bien cette expression ! Merci pour cette découverte.
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G
<br /> De rien, avec plaisir très cher ! Je découvre autant que vous avec ces interview et j'espère continuer dans ce sens, car c'est n'est vraiment que du plaisir !<br /> <br /> <br />
C
Lire, c'est déjà partir ! J'aime bien cette expression ! Merci pour cette découverte.
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V
Quand vous dites, «vous avez du style, y compris dans cette interview" vous sous-entendez que j'ai du style dans mon écriture ? Si c'est ça, merci, je suppose que vous avez lu mes livres et que vous avez aimé. Je suis ravie. Géraldine y est pour quelque chose concernant l'élégance de cette l'interview, elle est sublime. à bientôt,V.
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G
<br /> Puisèje publier un commentaire contenant autant d'éloges à mon égard sous peine de passer pour prétentieuse ???!!! Allez oui, il n'y a pas de mal à ce faire du bien et il faut savoir recevoir les compliments quand ils viennent. La vie nous amène assez<br /> de reproches pour accepter les compliments !<br /> <br /> <br />
P
Vous avez du style, Valy-Christine, y compris dans cette interview! Vocabulaire riche, élégance de la métaphore, etc...Par moments, au détour d'une phrase, votre français se "roumanise"un peu, mais ça ajoute à votre charme !A bientôt, j'en suis sûr.
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A
Je viens de lire le livre"D'un pays l'autre" de Valy , j'ai adoré !!en fait je ne pensais pas le lire si vite , je crois que je l'ai lu en 2-3 heures!!preuve que je me suis vraiment branchée dessus!lolj'aime chacun des personnages féminins mais j'avoue avoir une préférence très nette pour Corina, qui montre beaucoup de courage .Violeta aussi a du cran , elle se prend enfin en main pour écrire.................beaucoup de courage pour ces deux femmes , par contre je n'en dirais pas autant pour Oana( mais bien sûr je ne la juge pas ............) mais il ya aussi la mère qui nous montre sa présence et sa tenacité pour Corina.............voilà ce que je peux dire sans trop dévoiler le roman.............à chacun de le lire!!
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G
<br /> <br /> Merci pour ce témoignage plustôt incitatif à la lecture de ce livre !<br /> <br /> <br /> <br />
C
j'aime les librairies de quartier.surtout quand le(la) libraire a donne une amece qui est drole c'est la coincidence entre ce que je viens de lire et la chanson qui paraitra demain sur mon blog.je vais aller voir de plus pret les liens
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G
<br /> Et moi, je viendrais voir la chanson qui paraitra demain sur ton blog !<br /> <br /> <br />
K
En fait j'avais déjà vu son blog avant ! Encore efficace, géraldine !
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G
<br /> Toujours prête !!! lol  En fait, c'est Valy qui est d'abord venue vers moi et m'a soutenue et aidée lors de ma semaine<br /> "Objectif mode privilège" ! Ce fut une semaine très enrichissante, avec la découverte de plein nouveau blog pour moi.<br /> La pire, c'est qu'au niveau de la liste des blogs préférés, c'est un peu comme la PAL et la LAL, ça s'allonge, et ça prend du temps !<br /> <br /> <br />
A
J'ai lu cette interview avec énormément d'attention (vu que je me suis programmé un auteur roumain pour cette année ), et je trouve cette auteure très intéressante dans son parcours et dans sa philosophie de la vie. Voilà qui donne véritablement envie de découvrir ses oeuvres! Bravo pour cette enterview, encore une excellente idée!
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G
<br /> Merci !!<br /> <br /> <br />