CE QUE LIT LA FRANCE...

Publié le 10 Mars 2009

Je vais commencer par reprendre la définition du mot littérature dans le dictionnaire :
Nom féminin singulier
-ensembles des œuvres écrites ou orales, considérées du point de vue de la forme et de l'expression
- ensemble des œuvres écrites concernant un domaine précis
- activité de l'homme de lettres
- ce qui est décrit dans les œuvres littéraires, comparé à la
réalité

Maintenant, voici quelques extraits d'un article du journaliste François Taillandiers,
"Les consolantes",
paru dans un hébdomadaire familial en février...

"Umberto Eco proposa naguère une distinction entre la littérature problématiqueet la littérature consolatoire. Problématique, le roman qui interroge l'homme, la société, le destin, sans prétendre fournir de réponse univoque aux questions, même les plus angoissantes. C'est Dostoïevski, c'est Kafka- ou tout aussi bien les tragédies grecques.
Consolatatoire, c'est la littérature où le Bien triomphe, le mauvais est démasqué, la justice rétablie et amour rimera une bonne fois pour toute avec toujours.
A en juger par le classement des meilleures ventes de livre annuellement établi par Livres Hebdo, la tendance consolatoire garde plus que jamais la faveur du public. Le roman français le plus vendu en 2008 (près de 500 000 exemplaires) s'appelle d'ailleur "La consolante" d'Anna Galvada. Non loin d'elle, on trouve dans le palmarès Lévy, Musso... Chacun, bien entendu, a son registre, son style propre (ou son absence ce style). Mais ces romanciers ont pour point commun l'ambition simple re raconter des histoires qui réconfortent. Après les avoir lus, on se reprend à penser que la solitude n'est pas fatale, que la tendresse existe, que quelqu'un veille sur nous, que ceux dui cherchent trouvent...

Examinons maintenant la catégorie "Non fiction", essais et documents...
Les lecteurs se sont portés en masse vers les souvenirs de soeur Emmanuelle, ceux de Françoise Hardy et de Simone Veil. Une trinité féminine hétéroclite et dont la popularité ne surprend pas. Pourquoi ?
La réponse tient en 3 mots : La Ligne Droite. Chacun dans leur domaine, ces femmes n'ont jamais renoncé à être elles mêmes. L'une a suivi son chemin d'artiste avec exigence et confie sa fidélité à un amour douloureux. L'autre a tout bravé et tout enduré vpour suivre l'appel de Dieu. Quant à Mme Veil, au destin marqué par la Shoa, jamais elle n'a dit autre chose que ce qu'elle pense, ni pensé autre chose que ce qu'elle disait.
Or ce monde est bien décevant. On perd confiance. La politique semble être le théâtre de querelles mesquines. La Bourse, une caverne des quarante voleurs. Les médias, un cirque où chacun quémande sa minute de gloire. Et bien en voilà au moins 3 qui ne mentent pas, et qui sont, en ce sens, elles aussi des consolantes.

J'ai oublié de dire quen la plupart des autres grands succès romanesques sont des polars et des thrillers. De la menace, de l'angoisse : parfait contrepoint. Quelqu'un demandera peut-être : mais alors, la littérature dans tout ça ? Et bien elle vient loin derrière. Mais ça non plus, ce n'est pas nouveau."
Ainsi s'achève l'article de F. Taillandier, repris dans sa presque totalité ici...

Mon intervention : Ce qui me dérange, c'est ce ton un peu condescendant sur les Français qui lisent. Quand on reprend la définition de la littérature... Pourquoi ne pourrais t-on pas y inclure Levy, Galvada, Grangé. Pourquoi les souvenirs de soeur Emmanuelle seraient de la littérature (ou au moins non honteuses)  parce qu'émanant d'une illustre personne et Musso serait relégué au rang des.... gens qui écrivent.

Moi, j'en ai marre. C'est un coup de gueule. Pourquoi la littérature ne serait que Zola ou Balzac, dont bons nombres d'oeuvre ont endormi voire dégoûté de la lecture certains français. Pourquoi les succès de librairie dérangent à tel point qu'ils en deviennent forcément médiocres ? Pourquoi la "vraie" littérature devrait forcément être représenté par des livres écrit pas des intellectuels et ne pouvant être compris et appréciés que par l'élite ?

Ne peut on pas arrêter cette "guéguerre" mesquine "vraie" "fausse", "bonne" "mauvaise" littérature ? Ne peux t-on pas se réjouir qu'il y ait en France des auteurs qui vendent encore beaucoup de livres, qu'il y ait encore en France des millions de français qui lisent alors que d'autres s'excitent sur des jeux vidéos où l'on peut tuer comme ça et ressusciter car on à 10 vies ? Pourquoi ne peut on pas se dire chouette, il existe encore un domaine où les gens achètent (jusqu'à quand ?) au lieu de télécharger légalement ou illégalement. Une domaine ou l'acheteur a encore un vrai rapport avec le produit : la démarche d'entrer dans le magasins, le plaisir de choisir, acheter, toucher et lire le livre, le garder par la suite et non pas, comme un CD ou DVD, réenregistrer dessus ? Les gens lisent pour se distraire et alors, où est le mal ? Bientôt, il faudrait avoir honte de lire certains auteurs... Après, libre à chacun d'aimer ou de ne pas aimer un livre, ça bien entendu, et  de le dire. Mais cela, on peut le faire dans le respect, sans cracher sur sa victime.

Ne peut on pas juste se dire que la littérature est avant tout le plaisir que chacun prend à acheter, lire et terminer un livre, quelque soit le livre, quel qu'en soit l'auteur ?





Rédigé par Géraldine

Publié dans #A propos de...

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D
 VIENT DE PARAITRE :                               <br />  <br />  <br />  <br />                                 DEUX ANS ET PAS UN JOUR DE PLUS<br />                                                      Une histoire vraie<br />  <br />  <br />  <br /> Libertine et réjouissante, cette histoire d’amour est contée dans un style simple et vif.<br /> L’humour est omniprésent et les dialogues décoiffent.<br />  <br /> Après vingt ans de mariage, Marion surprend son mari en train de faire l’amour avec une bimbo de vingt ans. Elle quitte alors le domicile conjugal, mène sa propre vie et se donne deux ans et pas un jour de plus pour reconquérir son mari.<br /> Marion va mettre en œuvre une succession de stratagèmes astucieux pour y parvenir. <br /> Va-t-elle y arriver ?<br />  <br /> Tilise LEPRINCE-RINGUET nous livre ici son sixième roman, après  « Il faut que je rentre »<br /> « Chère carte orange », « La femme du vent », Aurelio, Aurelia », « Honorine ou les imprévus de Versailles », publiés chez Buchet-Chastel et Phébus.<br />  <br />  <br /> Pour lire des extraits de ce roman sur Google, tapez « deux ans et pas un jour de plus »<br />  <br /> Pour commander le livre : www.edilivre.com (13 €)<br />  <br /> Téléchargement : 4,90 euros<br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  <br />  
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S
Oui, tout à fait, la culture et la détente sont parfaitement compatibles.
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S
Je suis d'accord avec toi, d'ailleurs je comptais écrire un article aussi sur un sujet semblable. Pas sur ce que lisent les Français aprce que je ne conais pas les satistiques, mais mon approche de la lecture. Je pense qu'une même personne n'a pas forcément les mêmes attentes d'un livre à l'autre, lire pour se cultiver c'est bien, lire pour se détendre c'est bien aussi .D'ailleurs je n'aime pas trop les termes style "littérature de gare", je trouve que cela a un  côté condescendant assez désagréable.
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G
<br /> On est tout à fait d'accord. Littérature de gare... et pourquoi pas littérature de "chiottes" pourquoi pas. Non, on pourrait tous rester élégant et moins condescendant comme tu le dis. Lecture<br /> culture et lecture détente, sachant que parfois, ces deux qualificatifs peuvent se retrouver dans un seul et même livre !<br /> <br /> <br />
L
Parceque les préjugés ont la vie dure ! désolée mais je viens d'écrire mon billet sur Orgueil et préjugés et ça m'a échappé ^^ mais je me rends compte que ce défaut est très courant. Ton article est en tout cas très révélateur de la vision des français. J'avoue lire pour un tout tas de raison mais le plaisir reste d'abord un moteur.
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G
<br /> <br /> Oui, le plaisir. Et il peut se cacher derrière n'importe quelle couverture et des couvertures différentes suivant le lecteur. Là, je lis les 10 dernières pages d'un des meilleurs romans que j'ai<br /> pu lire ces dernier mois. Que du BONHEUR !!! (et un billet après demain !)<br /> <br /> <br /> <br />
O
Tout à fait d'accord avec toi effectivement diiférence entre travail d'écriture et de création d'une histoire (levy) et voici ...
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O
... bonne évocation de la problématique ...on peut aussi se dire que les gens lisent (même du levy) c'est déjà bien ... ce n'est peut être pas de la littérature mais de la lecture ... tout comme quand hier on m'a proposé de la "lecture" chez le coiffeur, j'entends voic. et Paris Mat...parfois il est bon de voyager entre lecture et littérature ...ou peut être que la lecture aménera quelques âmes perdues vers la littérature
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G
<br /> Je ne suis pas trop d'accord pour comparer du levy avec du Voici ou du paris match !<br /> Voici, photos volées et reportages bidons, paris match : journalisme plus ou moins léger...<br /> Du levy ou autre, c'est un travail d'écrivain, création d'une histoire...<br /> A moins que tu veuilles dire que Levy est à la littérature ce que Match est au journalisme par rapport au "Monde " par exemple. A  ce moment là, bien plus d'accord !<br /> <br /> <br />
M
Super ce débat sur la littérature ! Moi j'aime lire de bons romans qui m'accrochent me font rêver ou réfléchir et je passe de la poésie au polar, des classiques aux contemporains, je lis des romans d' auteurs français ou étrangers, connus ou non. C'est vrai que certains auteurs ont un style magnifique , d'autres écrivent plus simplement ,mais si leur histoire nous emporte , peu importe !Je me laisse guider par mon feeling et puis des articles de magazines ou les avis de blogueurs comme toi Géraldine me donnent envie de découvrir un livre...Je suis optimiste, nos enfants aiment souvent lire si on les encourage, si on leur lit des histoires le soir avant de s'endormir.A l'école on leur propose de chouettes livres maintenant, dès la maternelle. Ah! les albums de l'ecole des loisirs !Et devenus ados, ils continueront à lire malgré les jeux vidéos !La littérature jeunesse se porte très bien !Alors tu as raison ce qui compte c'est le bonheur de lire ce que l'on a envie de lire !! Chacun ses goûts, nous avons tant et tant de livres encore à aimer !!  Vive la littérature et la liberté de choix !!Excuse-moi ce commentaire est un peu trop long mais le sujet en vaut la peine !
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G
<br /> Il n'y a pas de commentaires trop longs ou trop courts ! L'essentiel est de receuillir des avis, même s'ils divergent parfois et que les gens réagissent. bref, qu'il y ait de l'échange<br /> !<br /> <br /> <br />
M
<br /> <br /> <br /> Alors moi, je vais un peu me faire l'avocat du diable... j'espère qu'on ne m'en voudra pas… Dans la littérature, il y a l'histoire en elle-même et il y a l'écriture. Et le problème avec Musso et Levy, c'est la pauvreté de leur écriture (même si je reconnais tout à fait que ça ne les empêche pas d'écrire des histoires qui emportent le lecteur. La Littérature sert aussi à s'évader.) <br /> <br /> Ce que montre du doigt les journalistes (sans l’expliquer, hélas !), c’est qu’on risque d’aller vers un véritable appauvrissement de la langue française si on met tous les écrivains dans le même panier. Comme dans beaucoup de domaines, on recherche la facilité et on se dirige vers des auteurs faciles comme Levy ou Musso, sans vouloir faire l’effort de découvrir des auteurs qui nous demanderont au départ un peu plus d’efforts. <br /> <br /> En tant que littéraire, l’écriture et le style de l’auteur sont aussi importants pour moi que l’histoire elle-même. Quel bonheur de relire plusieurs fois une même phrase pour en savourer les sonorités ! Et s’il n’y a pas quelques « puristes » pour tirer la sonnette d’alarme, alors la langue française perdra une grande partie de sa richesse. <br /> <br /> Après, je ne suis pas en train de dire que ces auteurs ne devraient pas être publier. Mais il faut garder à l’esprit la distinction entre une littérature de distraction et une littérature représentante de la langue française. <br /> <br /> Bon, j’arrête ici en espérant ne pas m’attirer les foudres de la blogosphère 
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G
<br /> Je suis d'accord avec toi, comme tu le dis bien, il y a une littérature de distraction et une littérature représentante de la langue françaises. parfois, les 2 genres peuvent d'ailleurs se<br /> rejoindre. Ce qui me mets en colère moi, ce sont les descente en flèche systématique de ces auteurs qui écrivent du léger....  La lecture s'est peut être comme la came... Tu peux commencer par<br /> du léger et tenter le dur après (lol à moitié !). Je pense que tous les auteurs ont leur place. Car peut-être que quelqu'un qui n'a pas lu de livre depuis 10 ans va s'éclater dans un Musso et que<br /> dans 10, il s'éclatera dans un Dumas !<br /> <br /> <br />
C
Bonjour Géraldine,Je suis d'autant plus d'accord avec toi que mon domaine de prédilection, la SF, n'est pas particulièrement réputé.C'est peut-être ce genre de réactions d'intellectuel qui a fait que je ne vais pas, par principe, lire des "prix" littéraires alors que ce sont certainement de très bons "bouquins".Chacun son style et l'essentiel n'est-il pas, en effet, de lire ? Il faudrait certainement intéresser d'une manière ou d'une autre nos "chères têtes blondes" à lire, quel que soit le genre de livre.bisous
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G
<br /> Absolument d'accord. LA SF et les polars ont a peu près la même réputation... sauf que les polars ont la chance d'avoir de nombreux best sellers pour se faire connaitre du public.<br /> <br /> Bises<br /> <br /> <br />
A
Je suis entièrement d'accord avec ce billet et ses com'. Moi je me fiche que mes lectures soient classées "intellos" ou "populaires". Et puis chacun fait comme il peut, avec ses capacités...Le principal étant, à mon avis, de rester curieux, ouverts.
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G
<br /> <br /> ... et d'y prendre du plaisir !!! On dirait que certains oublient que la lecture est un divertissement, un hobbie tout comme le sport ou la broderie !<br /> <br /> <br /> <br />
V
C'est comme les critiques ciné. Je regarde presque tous les soirs le Grand Journal sur Canal et je sais plus quel jour (mercredi je crois) il y a les critiques des sorties ciné sur des films popu ou non, français ou non. Je suis rarement d'accord avec eux...Généralement ce qu'ils adorent, j'aime pas et vice versa. C'est comme les récompenses aux Césars, je ne pense pas que ça reflète l'avis de la population (qui je le rappelle est pour beaucoup dans la réussite financière d'un film). Cette année, Séraphine a été récompensé plusieurs fois. J'adore Yolande Moreau (dans les Deschiens surtt) mais franchement j'ai pas envie de voir Séraphine. J'aurais préféré récomensé d'autres films comme "2 jours à tuer".Bref
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G
<br /> Oui, et "Bienvenues chez les chtis "complètement absent des césars, est-ce que ça reflète l'avis de la population ??!! (ça, c'est jute pour t'énerver !!!!)<br /> Sylvie Testud a fait un travail formidable sur Sagan, autant que l'actrice de "La môme".... Et rien pour elle non plus <br /> <br /> <br />
A
C'est vrai que le mot "littérature" évoque tout de suite "classique", "bon goût", "académique", "prix", "raffinement" - n'entre pas au club qui veut. On le dit nous-même de livres qui nous ont plu, diverti, touché mais dont on est conscient que le style n'est pas particulièrement relevé, que ce n'est pas de la "grande" littérature.Une chose est sûre, on ne peut pas mettre tous les livres dans le même panier mais juger les gens pour leurs goûts pour tel ou tel oeuvre est assez ridicule à mon sens.
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G
<br /> Oui, tu vois, ce qui me dégoute le plus, c'est l'acharnement médiatiques (ou aussi des auteurs non publiés, ou qui vendent moins et aigri) sur les gros vendeurs de livres qui sont en<br /> général des auteurs de littérature plus distrayante.... C'est peut-être juste que la population a besoin de se distraire par ces temps ci non ?<br /> <br /> <br />
M
Entièrement d'accord! Lire pour moi ,c'est avant tout unplaisir et tant mieux si un livre que j'aime est très populaire. Je me demande si dans les autres pays on méprise autant que nous les livres à succès.
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G
<br /> De toute façon en France, tout ce qui a du succès est dénigré par la presse ou presque. C'est pareil pour le ciné, la musique...<br /> <br /> <br />
C
Bravo Géraldine !Chacun lit ce qui lui plait, ce qui lui fait envie, même si c'est considéré comme de la "littérature de gare", chacun prend son plaisir avec ses propres lectures et peut le dire dans un blog.Là où je ne suis pas d'accord avec toi, c'est en ce qui concerne la "littérature classique", souvent décriée parce qu'elle est considérée comme de la "littérature bourgeoise", mais là aussi c'est une question de goût : essaie de lire un "classique" de temps en temps, j'ai vu que certains blogueurs le font, ils lisent du classique régulièrement, et tu verras, il y en a des biens, par exemple j'aime le théâtre (Molière, Racine, Anouilh,...) et la poésie (Verlaine, Baudelaire, Prévert,...), les romans (Dumas, Balzac, Zola, Stendhal, Hugo,...), des auteurs qui sont représentatifs de leur époque et qui peuvent aussi apporter du plaisir, heureusement !
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G
<br /> J'ai lu bcp de classiques et en ai d'ailleurs dans ma PAL. Je crois d'ailleurs que l'année prochaine (géraldine où l'art de l'anticipation) , je participerais au chalenge ABC...<br /> Mais comme ces lectures sont trop lointaines pour bien en parlé dans mon blog, elles en sont pour l'instant hélas absente. Mais je suis une vraie fan de Maupassant, La chartreuse de parme, quel<br /> souvenir, la dame au camélia.... Et Lamartine, si j'avais de la mémoire, je l'apprendrais par coeur. Non, je n'ai rien contre les classique sauf Balzac (là, c'est de l'urticaire !)<br /> En fait mon billet est surtout sur mon ras le bol de quelques personnes élitistes qui s'approprient la littérature et les papiers forcément dénigrands les Musso, Levy and co...<br /> <br /> <br />
V
Alors, moi, je me pose même pas la question, à savoir si ce que je lis est dans l'air du tps, proscrit, beauf, top,....Je lis ce qui me plaît: du moment qu'au bout de 6 pages je ne m'endorme pas...."Tout est bon dans le cochon". C'est pareil pour la littérature, le cinéma, la musique....De toutes façons, je ne me fie pas aux critiques ds n'importe quel domaine d'ailleurs. Je me fie à mon instinct. Je ne vois pas quel droit ont ces personnes de descendre en flèche un auteur sous prétexte qu'il s'agit d'un comédien ou d'une personnalité....
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G
<br /> Comme pour Brel, on est complètement d'accord Virginie. Dingue non !<br /> <br /> <br />
C
Beau coup de gueule et je te suis dans ton analyse , donc avant de classifier ainsi nos lectures relisons la définition basique du mot "litterature "bises GeraldineBonne journée
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G
<br /> Oui, j'en ai marre que quelques élititistes s'approprient la littérature et décide ce qui en est ou ce qui n'en n'est pas, en dénigrand ce que la majeur partie de la population aime !<br /> <br /> Bonne journée à toi<br /> <br /> Géraldine<br /> <br /> <br />