SUBLIMES CREATURES, film de Richard LaGravenese
Publié le 4 Mars 2013
Synopsis : Ethan Wate, un jeune lycéen, mène une existence ennuyeuse dans une petite ville du sud des Etats-Unis. Mais des phénomènes inexplicables se produisent, coïncidant avec l’arrivée d’une nouvelle élève : Léna Duchannes.
Malgré la suspicion et l’antipathie du reste de la ville envers Léna, Ethan est intrigué par cette mystérieuse jeune fille et se rapproche d’elle.
Il découvre que Lena est une enchanteresse, un être doué de pouvoirs surnaturels et dont la famille cache un terrible secret.
Malgré l’attirance qu’ils éprouvent l’un pour l’autre, ils vont devoir faire face à une grande épreuve : comme tous ceux de sa famille, Lena saura à ses seize ans si elle est vouée aux forces bénéfiques de la lumière, ou à la puissance maléfique des ténèbres…
Malgré la suspicion et l’antipathie du reste de la ville envers Léna, Ethan est intrigué par cette mystérieuse jeune fille et se rapproche d’elle.
Il découvre que Lena est une enchanteresse, un être doué de pouvoirs surnaturels et dont la famille cache un terrible secret.
Malgré l’attirance qu’ils éprouvent l’un pour l’autre, ils vont devoir faire face à une grande épreuve : comme tous ceux de sa famille, Lena saura à ses seize ans si elle est vouée aux forces bénéfiques de la lumière, ou à la puissance maléfique des ténèbres…
Avec Alden Ehrenreich, Alice Englert, Jeremy Irons, Viola Davis
Mon humble avis : Alors, après le fin d'action sans surprise (Die Hard), me voici dans une salle obscure pour voir un film mi romance, mi fantastique : Sublimes Créatures. C'est l'adaptation ciné de la série 16 lunes, que je n'ai pas lue... Je suis me suis donc assise dans mon fauteuil rouge sans à priori, avec curiosité et plutôt ne grande attente, puisque j'aime assez ce genre de fantastique, avec des être doués de pouvoir surnaturels.
Hélas, j'ai du attendre un certain temps avant que le surnaturel ne fasse réellement son apparition dans le film. Ensuite, je me suis dit, c'est parti, et bien nom, le film traine un peu en longueur ou peine à trouver son rythme, c'est comme vous voulez. Car l'aspect surnaturel est distillé avec partimonie, de façon un peu radine en fait. J'imaginais que ça aller jaillir de tous côtés et bien non. Alors certes, peut-être que les effets spéciaux nécessaires à ces scènes coûtent très cher. D'ailleurs, c'est bien un bon point que l'on ne peut ôter à ce film, c'est la parfaite réussite des effets spéciaux, des décors et de certains costumes.
Pour une veille quadra peut habituée comme moi à ce genre de film, j'avoue qu'il m'a fallut du temps à m'habituer aux espèces de "couloirs du temps" et à de multiples reprises, je me suis demandé si les personnages rêvaient ou pas.
L'ensemble reste mignon et plein de bons sentiments. Le thème central en est l'amour, le passage initiatique à l'âge adulte, et la personne que l'on choisit d'être quelques soient les éléments extérieurs ou soit disant écrits d'avance. Dommage que les dialogues soit truffés de poncifs et pas plus originaux, que le jeune acteur ait un sourire purement américain scotché au visage du début à la fin. Je ne sais pas à quel point le réalisateur a voulu rester fidèle à la saga d'origine, mais un film plus rythmé, plus sombre et moins clichés m'aurait bien plus séduite. Par contre, à mon âge, j'ai apprécié de retrouver le charme de Jéremy Irons ainsi que la splendide actrice de "La couleur des sentiments", Viola Davis.
J'en ai tout de même eu pour mon argent, toujours grâce à ma carte pass car l'ensemble reste divertissant et le suspens et là. Mais je pense que pour en avoir réellement pour son argent avec ce film, il faut être adolescent ou very very young adult. D'ailleurs, dans la salle, un part un crâne dégarni aperçu, notre entourage était plus proche du bonnet à pompon !