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Publié le 17 Février 2009

Synopsis : "Curieux destin que le mien..." Ainsi commence l'étrange histoire de Benjamin Button, cet homme qui naquit à 80 ans et vécut sa vie à l'envers, sans pouvoir arrêter le cours du temps. Situé à La Nouvelle-Orléans et adapté d'une nouvelle de F. Scott Fitzgerald, le film suit ses tribulations de 1918 à nos jours. L'étrange histoire de Benjamin Button : l'histoire d'un homme hors du commun. Ses rencontres et ses découvertes, ses amours, ses joies et ses drames. Et ce qui survivra toujours à l'emprise du temps...



Avec : Brad Pitt, Cate Blanchett,  Julia Ormond



                                 


Mon humble avis :Veuillez excuser cette redondance, mais "l'étrange histoire de Benjamin Button" est pour le moins... étrange... je pourrais dire originale, ça ne changerait pas grand chose au sens de la phrase. Par contre, je peux citer des adjectifs tels que bouleversant, éblouissant, intense sans mentir une seconde. Un nourrisson qui nait avec l'état de santé d'un vieillard et qui toute sa vie va rajeunir... Et une petit fille qui elle, devient une femme. C'est donc un film sur deux vies qui vont dans le sens opposé et qui pourtant se croisent et se mêlent.

C'est aussi un film sur l'acceptation des différences, l'amour inconditionnel et absolu, l'acceptation de nos propres failles ou handicapes, le don de soi, les injustices de la vie que l'on acceptent ou qui nous révoltent, et le temps qui passe quoique l'on y fasse. Bref, c'est un film qui traite d'une multitude de sujets et que l'on pourrait voir (ou lire) comme un conte. Après tout, dans les contes, il y a souvent des sorcières, des ogres... Et bien là, c'est un bébé qui naît affreusement laid car vieillard. C'est donc une très belle histoire de 2h35. Certains déplorent le manque de rythme du film... Quel autre rythme que la vie de tous les jours, de tous les âges pouvait il y avoir, puisqu'il s'agit ici de dérouler la vie ordinaire d'un homme pas ordinaire du tout. On se demande jusqu'à quel âge physique du héros Fincher va nous emporter. L'ensemble est donc très émouvant et pas ennuyeux, même s'il n'y a ni gag ni explosions toutes les cinq minutes. Touchant le sont aussi l'espace temps dans lequel se déroule une partie du film, puisque c'est un ancien journal intime qui est lu, auprès d'une mourante, à la Nouvelle Orléans, alors que le trop célèbre et dévastateur ouragan Katrina arrive à toute vitesse.

Les acteurs sont tous époustouflants dans leur rôle et leurs âges. Mention spéciale bien sûr pour Brad Pitt et Cate Blanchette aussi doués l'un que l'autre à simuler tant la jeunesse que la vieillesse, juste avec l'aide de maquillage. A un moment, on retrouvait même le Brad Pitt à l'allure insolente et à la beauté provocante du film Thelma et Louise !  Et puis, personnellement, cela m'a fait plaisir de revoir Julia Ormond, qui se fait trop rare sur les écrans ses derniers temps.

En tout cas, hors de question de conclure un billet sur ce film sans féliciter les fourmis qui travaillent dans l'ombre et dont les noms sont un parmi tant d'autres dans les génériques de fin. Ici, surtout les maquilleurs. "Le vieillissement progressif de Benjamin Button est assuré à la fois par les maquillages spéciaux de
Greg Cannom et les effets visuels, supervisés par Eric Barba, collaborateur de longue date de Fincher. Pour assurer son rôle, Brad Pitt a nécessité cinq heure de maquillage par jour". Vous voyez qu'il n'y a pas que les filles qui passent des heures à se maquiller !
Ce grand film ne peut que recevoir des compliments ! Et cette bande annonce vous donnera un aperçu de toutes ses prouesses : réalisation, jeux d'acteurs, maquillages...


L'étrange histoire de Benjamin button-bande annonce- fincher

 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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Publié le 8 Février 2009

Synopsis : Dans l'Amérique des années 50, Frank et April Wheeler se considèrent comme des êtres à part, des gens spéciaux, différents des autres. Ils ont toujours voulu fonder leur existence sur des idéaux élevés. Lorsqu'ils emménagent dans leur nouvelle maison sur Revolutionary Road, ils proclament fièrement leur indépendance. Jamais ils ne se conformeront à l'inertie banlieusarde qui les entoure, jamais ils ne se feront piéger par les conventions sociales.
Pourtant, malgré leur charme et leur insolence, les Wheeler deviennent exactement ce qu'ils ne voulaient pas : un homme coincé dans un emploi sans intérêt ; une ménagère qui rêve de passion et d'une existence trépidante. Une famille américaine ordinaire ayant perdu ses rêves et ses illusions.
Décidée à changer de vie, April imagine un plan audacieux pour tout recommencer, quitter leur petite routine confortable dans le Connecticut pour aller vivre à Paris...

Avec : Kate Winslet, Leonardo DiCaprio, Kathryn Hahn, Kathy Bates

                                   

Mon humble avis : Les Noces rebelles est l'adaptation du roman Revolutionnary Road / La Fenêtre panoramique de Richard Yates, publié chez Robert Laffont en 1961.
J'écris ce billet alors que nous sommes samedi soir. Je suis sortie de la salle il y a un peu plus d'une heure. Je sais que le film m'a plu, énormément. Je peux dire que c'est un chef d'oeuvre. Mais je ressens aussi une boule au ventre ou dans la gorge ou les deux.  Un énorme malaise devant un tel gâchis de couple, magistralement interprété par Kate Winslet et DiCaprio, que l'on avait pas revu jouer ensemble depuis le fameux Titanic, il y a 11 ans...
Oui, bouleversante est cette histoire qui traite de la difficulté de trouver sa place dans son couple comme dans une société qui évolue. Il est question ici d'une quête d'un bonheur idéalisé depuis trop longtemps, de refus de la médiocrité, de la simplicité, de la maturité,  des illusions que l'on a sur la vie comme sur soi même, des choses que l'on dit faire pour les autres alors que...
Le couple formé par Dicaprio et Kate Winslet paraît être le couple idéal aux yeux de tous. Mais il rêve d'un destin extraordinaire, pour ne plus appartenir à la masse. Mais ont-ils chacun les mêmes rêves finalement et le même courage pour les réaliser ? Ne vaut-il mieux pas ne rien bousculer, garder un petit train train qu'une augmentation salariale améliorera forcément. Le bonheur est il devant nous, une question de lieu, de partage, juste un amour profond, une réelle communication, un rêve que l'on partage même s'il ne se réalise pas ou un rêve qui finit par diviser. La sagesse n'est elle pas d'accepter d'être une personne banale promise à une vie simple, (juste quelqu'un de bien comme disait une chanson...) de cesser de se croire promis à une vie exceptionnelle quand une vie simple sans soucis peut déjà bien faire envie  aux voisins.
Tant de questions que pose ce film. Il est impossible de sortir de la salle obscure indemne car on s'est tous un jour posé ces questions. Je me retrouve moi même dans nombre d'entre elles, d'où peut être cette sensation étrange qui reste en moi. Et puis surtout, certaines scènes de ménage sont d'une telle violence et cruauté émotionnelles, tout comme certains non dit d'ailleurs qu'on en demeure silencieux, bouleversé.
Techniquement, on peut, de façon consensuelle parler d'un scénario très bien construit, de dialogues incisifs ou le silence tient sa place grandissante... Les plans et les images comme de la haute couture : sur mesure... J'arrête là, parler de technique pour un film comme celui ci est indécent. C'est un film parfait, sans faute. Un film que l'on voit et qui vous happe avant de vous remuer pour un bon moment.

                                                                                                   

 


Les Noces rebelles - Bande-Annonce / Trailer [VF]



Schlabaya vous donne son avisICI
Et Keisha vous parle du roman d'origine, Révolutionnary Road (La fenêtre panoramique ) LA

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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Publié le 14 Janvier 2009

Film de HALL BARTLETT

Synopsis : Jonathan le goeland n'a qu'un rêve: voler. Voler toujours plus, toujours plus haut, toujours plus vite au grand dam des membres de son clan qui ne comprennent pas ses multiples experiences de plus en plus dangereuses. Jonathan decouvre bientot qu'il peut aussi voler la nuit. Tout heureux, il vient l'annoncer a ses pairs et pour toute recompense, il est banni. Mais ses aventures ne font que commener dans le vaste monde des airs et de la connaissance. L'errance et l'aventure deviennent ses seuls compagnons jusqu'à ce qu'il rencontre Chiang, l'ancien d'un autre clan, qui a beaucoup à lui apprendre

Casting ; Le premier rôle est tenu par Jonathan le Goeland. Et des centaines d'autres goélands tiennent les seconds rôles !!!







                                        


Mon humble avis :  Je ne vous parle pas ici de n'importe quel film ! Jonathan Linvingston est un film produit dans en 1975, qui a été nominé aux Oscars, et qui fait partie de ma PFV (Pile de Films à Voir) depuis plus d'un an. Ca y'est, je l'a regardé hier, tout en regrettant de ne pas l'avoir fait plus tôt, tout en me promettant également de le regarder de nouveau pour mieux voir, mieux entendre certains messages. (les voix off prêtées aux Goélands).
En fait, nous suivons les aventures de Jonathan depuis ses essais scabreux de vol de plus en plus haut, jusqu'à son bannissement de son groupe, puis dans son errance de part le monde et enfin, dans sa rencontre avec un ancien qui lui apprend bien des choses, entre autre la sagesse. Cela donne lieu a des images superbes d'océan, de désert, de montagnes, de vols de ses géants des mers.
Ce film est à voir par toutes les personnes éprises de : grands espaces, d'océan, de désert, de mer, d'oiseaux marins, de liberté, d'apprentissage, de perfection, de philosophie, de voyage, de rencontres, d'un grain de folie et d'un peu de sagesse.
Je conseille ce film aussi aux personnes qui ont un peu de mal à avancer en ce moment. C'est un film plein de sagesse, qui évoque les grands sentiments qui nous émeuvent, nous préoccupent ou nous ravagent : le courage, la peur, l'amour, la persévérance, l'orgueil, le pouvoir,  la liberté, le choix d'être différent, la tolérance, la possibilité de l'échec.
Par contre, les cartésiens ou fans de cinéma d'aventure et d'effets spéciaux s'abstiendront !! Car il s'agit d'un chef d'oeuvre certes, mais avant tout d'un film initiatique, d'un songe, d'un rêve, d'une superbe leçon de vie !

 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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Publié le 3 Janvier 2009

 Synopsis : Australie du Nord, fin des années 30.
Lady Sarah Ashley, aristocrate anglaise hautaine et renfermée, arrive au coeur des paysages sauvages de l'Australie et se retrouve à devoir gérer seule un gigantesque domaine.
Contrainte pour sauver l'exploitation de partir vendre 2 000 têtes de bétails à des milliers de kilomètres, elle n'a d'autre choix que de faire équipe avec un cow boy local un peu rustre.
Cette aventure à travers les terres aussi magnifiques qu'inhospitalières du pays transformera à jamais ces deux êtres que tout oppose. Au bout de leur périple, la ville de Darwin doit faire face aux bombardements japonais


Casting :
Nicole Kidman, Hugh Jackman, David Wenham, Brandon Walters

                             

Mon humble avis :Une grande fresque de 2h40 ? Ah bon ?!!! Je n'ai pas senti le temps passer ! Les mauvaises langues diront que c'est un film convenu... peut-être parce que certaines choses sont prévisibles. Mais c'est aussi parce que l'on a envie de voir ces choses là que l'on se rend dans les salles obscures. On veut qu'il y ait un peu de justice et que l'amour triomphe ! Les acteurs sont magnifiques. Nicole énerve les femmes et Hugh les excite ! Quand à Brandon Walters, qui joue le petit garçon métis, il fait chavirer tous les coeurs ! C'est un film utile aussi, qui évoque et dénonce un scandale historique peu connu par nos contrées : celui des "générations volées" (voir en fin de billet)...Cette magnifique épopée à travers l'Australie ne connaît pas de temps morts. Car évidemment, il y a des méchants... donc du suspens jusqu'aux dernières minutes du film. De l'émotion (j'ai versé quelques larmes, croisant les doigts pour que les lumières ne se rallument pas de sitôt), de l'action, de l'aventure, des sentiments, de l'amour, de la bravoure, du courage mais aussi hélas, de la guerre.... Bref tous les ingrédients pour faire d'Australia un très bon film divertissant et prenant.
Mais ce n'est pas tout.... Il y a aussi des leçons de sagesse aborigène et des photos à vous couper le souffle qui transforment Australia en un grand film romanesque, à voir absolument !

Pour en savoir plus sur les aborigènes et les générations volées, cliquez sur ce
lien

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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Publié le 8 Octobre 2008

Résumé : La vie de James Gregory, un Sud-Africain blanc, gardien de prison en charge de Nelson Mandela, de l'incarcération de ce dernier dans les années 60 à sa libération en 1990.
Pendant 25 ans, Gregory s'est occupé de Mandela jour après jour. Il a été son géôlier, son censeur mais aussi son confident, de Robben Island à Pollsmoor, et enfin jusqu'à Victor Verster d'où il fut libéré en 1990.
Le scénario de Goodbye Bafana est basé sur le livre Le Regard de l'antilope écrit par James Gregory lui même

Film réalisé par Bille AUGUST, avec Joseph Fiennes, Dennis Haysbert, Diane Kruger.


                              

Mon humble avis :J'ai vu ce film lors de sa sortie sur les écrans en 2007. J'en rédige ici un billet car il complète parfaitement le sujet ambiant actuel de ce blog, l'Afrique du Sud (via Afrika Trek 1, La Lionne Blanche, ici Goodbye  Bafana et un article sur l'Apartheid - à venir).  Je multiplie les supports d'informations pour tenter de comprendre la mosaïque Sud Africaine.
Goodbye Bafana est un film captivant et bouleversant. Il est doublement touchant car, comme tout le monde le sait, il s'agit d'une histoire trop vraie. Le début du film nous plonge dans la violence de l'Apartheid. Quelques scènes sont difficiles. Le réalisateur a la finesse de ne pas s'y attarder mais de les "affronter" tout de même. Il faut remettre en mémoire la signification et les conséquences réelles du mot "apartheid". Puis Nelson Mandela est arrêté et incacéré. Il restera enfermé pendant les trente années suivantes. Ce sont ces 30 années que ce film raconte, à travers le regard de son geôlier. Une relation de 30 ans entre un geôlier qui doute et évolue et un prisonnier que rien ne semble pouvoir ébranler. 30 ans derrière des barreaux, à poursuivre la lute pour la Liberté des opprimés,  sans violence.
Le jeu des acteurs est d'une justesse et d'une sobriété incroyable.  Les séquences sont filmées avec émotion et les dialogues, parfois réduits au minimum, nous mettent souvent un noeud dans la george. 
En résumé, Goodbye Bafana est un film historique qui décrypte pour nous une époque de l'Afrique du Sud, le combat de Mandela et qui nous livre un peu du mystère du personnage. Et surtout, ENFIN c'est un magnifique hommage à Mandela, devenu un véritable symbole de la liberté.
On sort de la salle de obscure en silence, comme par respect. Une sortie en silence comme on pourrait demander une minute de recueillement pour célébrer une triste cause, où l'avènement tant attendu d'une vérité, d'une victoire... celle de Mandela, d'un peuple, d'une cause !

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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Publié le 22 Juillet 2008


Si vous voulez visionner la bande annonce du film, cliquez droit sur le lien suivant :
http://www.cinemovies.fr/players/player.php?IDfilm=3215&IDBA=10324

Le budget de ce film fut 125 millions de $. Le casting international est époustoufflant. Entre autre : Tom Hanks, Audrey Totou, Jean Pierre Marielle, Alfred Molina, Ian Mac Kellen, Jean Reno.
Le réalisateur n'est autre que Ron Howard.




Mon humble avis :  J'ai beaucoup aimé le film, qui m'a remis pour un temps en mémoire certains détails du film.
Je connaissais déjà la fin puisque j'avais lu le livre. Mais mon plaisir de voir le film n'en a pas été diminué, au contraire. Le film de Ron Howard est assez fidèle au livre, malgré quelques raccourcis...
Un très bon film d'aventure, un thriller, un divertissement. Mais une adaption cinématographique ne vous donnera jamais autant de frissons que le roman dont il est inspiré... En 2H30, tout est bouclé, pas de fins de chapitres, de pages à tourner...

Pour la petite info, ce film est aussi une course poursuite, une course contre la montre, qui nous emmène dans nombre de contrées...
Voici une liste des principaux lieux de tournage, si une certaine envie de pèlerinage vous prend !

   Belvoir Castle, Belvoir, Leicestershire, Angleterre.
Burghley House, Stamford, Lincolnshire, Angleterre.
Caledonian Hilton Hotel, Edinburgh, Ecosse.
Chateau de Villette, Condecourt, Val d'Oise, France.
Fairfield Halls, Croydon, Surrey, Angleterre.
Cathédrale Lincoln, Lincoln, Lincolnshire, Angleterre.
Londres, Angleterre.
Malte.
Musée du Louvre, Paris 1, Paris, France.
Paris, France.
Hotel Ritz, Paris, France.
Rosslyn Chapel, Midlothian, Ecosse.
Shepperton Studios, Shepperton, Surrey, Angleterre.
Temple Church, Temple, Holborn, Londres, Angleterre.
Cathédrale de Winchester, Winchester, Hampshire, Angleterre

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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Publié le 26 Juin 2008

Sex and the City, le film


Les quatre amies les plus branchées et décomplexées de New York débarquent sur le grand écran ! Pour écrire sa chronique Sex and the City, Carrie s'inspire de ses histoires et de ses rencontres, mais aussi de celles de ses amies Samantha Jones, Charlotte York et Miranda Hobbes.
Quatre ans après la fin de la diffusion de la célébrissime série sur HBO, les quatre amies continuent de jongler entre travail, obligations sociales et relations humaines, naviguant entre la maternité, le mariage et l'immobilier à Manhattan !

Réalisé parMichael Patrick King
AvecChris Noth, Cynthia Nixon, Kristin Davis, Kim Cattrall, Sarah Jessica Parker


                                  
Mon humble avis : Sans aucun doute, on retrouve avec grand plaisir les 4 célèbres célibataires New Yorkaises !
On se rassure même : nous ne sommes pas les seules à prendre un petit coup de vieux !
J'ai découvert la série tardivement, à l'époque des rediffusions... et en suis bien sûr devenue inconditionnelle !
Le film ne m'a ni déçue, ni surprise, puisqu'il respecte l'esprit de la série. Il est cependant plus grave. Notre sensibilité émotionnelle est assez sollicitée. C'est normal, nos héroïnes ont acquis de la maturité, ont pris du recul...
On ri beaucoup bien sûr, et heureusement ! Mais on est très émue, surtout devant la similitude (sans ce pencher sur les détails financiers, géographique) de la vie sentimentale de Carrie et la notre, si l'on est célibataire il va de soit !
Mais il paraît que tout change, que la roue tourne. D'ailleurs, Carrie va t-elle épouser BIG ? Pour le savoir, il faut aller voir le film sans hésiter !

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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