Publié le 17 Septembre 2010

Il y a 17 ans de cela (hum, hum), j'ai eu la chance d'aller en Louisiane et de visiter La Nouvelle Orléans. "Entretien avec un vampire" n'avait pas encore été tourné, Britney Spears n'y avait pas de maison et Katerina n'avait pas encore tout détruit. Certes, à l'office de tourisme, l'employée prenait déjà un gros marqueur rouge pour barrer sur la carte les quartiers à éviter à tout pris "too dangerous, really. Be carefull guys". Avec de la prudence mais sans paranoia, j'ai donc découvert cette ville mythique. Les yeux grands ouverts, et les oreilles aussi. Des notes de jazz émanaient  de chaque club, bar, restaurant, donnant au Vieux Carré (l'ancien quartier français), une atmosphère joyeuse et parfois cacophonique pour la non initiée que je suis à ce genre musical.

J'espère de tout coeur trouver le temps (un jour), de scanner et de partager avec vous mes photos de cet état meurtri qui se relève courageusement.

A l'époque, en guise de souvenir, je me suis acheté un mug qui affichait des ombres de musiciens. Le mug est arrivé entier chez moi quelques mois plus tard, et trône toujours dans ma cuisine.... Et depuis, il m'a inspiré cette peinture... intitulée Bourbon Street !

 

 

 

 

 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Mes couleurs du monde

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Publié le 15 Septembre 2010

Roman - JBZ et Cie editions - 122 pages - 15 euros

 

 

Parution 2 septembre 2010

RENTREE LITTERAIRE

 

Résumé : Rupture.... La narratrice se venge sur le corps de son amant, au sens propre comme au figuré, de façon aussi ordonnée que poêtique...

 

Tentateur : attachée de presse JBZ et pitch

Fournisseur : JBZ

 

 

 

 

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Mon humble avis : Gloups ! Cela m'apprendra à ne lire ce que veux voir dans un pitch.... deux mots m'avaient échappé :"sens propre". Ils signifient à eux seuls complètement répugnant...

Le livre est mignon tout plein : petit, une couverture aux couleurs chattoyante, un cartonnage bien agréable au touché.... Très beau travail d'éditeur, d'imprimeur. Oui, mais, méfiez vous des apparences.

Le sujet, qui m'était présenté comme un réglement de compte  envers la gente masculine, au sens propre comme au sens figuré, m'intéressait franchement. Je pensais lire un livre où se mêlerait sarcasme, humour, satire et drôle cruauté, de l'acidulé comme la couv, bref, presque de la chicklitt....

J'ai commencé ma lecture chez Keisha. Les premières pages m'ont laissée dubitative puis je suis passée à l'état de choc ! INTERLOQUEE, voilà le mot.

Mal à l'aise, j'ai partagé ma lecture avec Keisha qui fut ESTOMAQUEE. Enfin, quand AGFE est arrivée, j'ai poursuivi ma lecture avec elle. Une lecture à voix haute et théâtrale, qui aidait à faire passer la pillule de l'horreur.... AGFE a lutté contre le fou rire....

Car même si l'écriture est soignée et travaillée, elle ne suffit pas à surmonter la nausée qui nous envahit si on lit ce roman de manière sérieuse. Le vengeance est on ne peut plus au premier degré, physique, détaillée, vraiment, à vomir (nez râpé avec une rape à fromage qui s'emboite parfaitement sur l'appendice... Elle fit tourner la roue et le cartilage rapé commença a apparaître etc...) Chaque partie du corps y passe, des yeux, aux ongles, au sexe.... Bref, je vous laisse imaginer le pire, vous en serez loin. Les images qui vous viennent naturellement en tête en lisant ses lignes sont insoutenables. C'est gore, et gloque à souhait, à tel point que le but réel de ce livre (s'il y en a un) nous échappe complètement. Fallait il tout comprendre au 3ème degré ? En tout cas, pour parvenir à bout de cette lecture, j'ai choisi d'en rire avec mes copines, en lisant à voix haute. Voilà, c'est ça, mieux vaut en rire....

Ce qui est sûr c'est qu'au pays du mal sain, Houellebecq est relayé chez les bisounours ! Un livre qui a tout pour faire le buzz sur les plateaux télé, c'est tout. Surtout, à ne pas mettre dans des mains innoncentes...

 

 

Séparable.... C'est parable mais mémorable ! 

                                                                                              1pourcent2010

                                                                                                                   

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Littérature française

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Publié le 13 Septembre 2010

BD - Emmanuel Proust Editions - 46 pages - 12,60 €

 

 

Texte et scénario : Dominique ROBET

Dessins et couleurs : Alain ROBET

 

Parution en 2005

 

 

Histoire : Début du XIXe siècle, sur les côtes de la Manche, une jeune femme corsaire de la République, Gabrielle Baubriand, tente de déjouer le dernier complot royaliste mené par Cadoudal. Or, elle ne se doute pas que son armateur n'est autres que l'assassin de son père mais aussi le traître qui soutient le camp adverse.

 

 

 

 

 

 

 

 

Fournisseur : Les étagères fournies pour mes neveux de chez ma mère

Tentateur : Ma curiosité.

 

 

Mon humble avis :Novembre 1793... Louis XVI a été exécuté depuis quelques mois et les Chouans sont aux portes de Granville dans le Cotentin. Durant ce siège, le célèbre Corsaire Baudriand est, assassiné. En une nuit, Gabrielle perd ainsi père et mère. Dix ans plus tard, elle, est devenue une redoutable corsaire elle aussi. Elle n'a de cesse que de découvrir la vérité sur le meurtre de son père, et de le venger.

L'héroïne est charmante, et démontre un caractère bien trempé. Tantôt femme presque fatale, tantôt sauvageonne et garçon manqué, sa chevelure rousse ne laissera personne indifférent.

L'arrière plan historique de cette bande dessinée est passionnant, et l'on ne doute pas qu'il est le résultat d'un long travail de documentation.( Rares sont les oeuvres qui traitent de la période du Consulat(. Il revient sur la fin de la chouanerie début 19ème siècle en Normandie. Les personnages sont très bédégéniques et vous embarquent dans cette histoire mêlant espionnage, trahison, vengeance. Dommage qu'il soit parfois difficiles de les distinguer les un des autres. Cela installe un petit brouillard ambiant qui sans doute se lèvera au fil des tomes. L'intrigue même de ce tome ci ne déborde d'ailleurs pas d'intérêt. Je pense que celui ci est plus une mise en place  de l'ensemble et une présentation de cette fameuse Gabrielle (qui me donne envie de chanter "Zora la rousse"...) Les auteurs tiennent là un sacré fer qui agrippe le lecteur. Car oui, nous voulons savoir ce qu'il va advenir de cette femme corsaire.

L'album en lui même est magnifique et donne l'impression de tenir entre les mains un livre précieux. La matière de la couverture et des pages est d'une douceur très agréable au toucher. Le papier est glacé. Les dessins sont précis, détaillés, et les couleurs très "atmosphériques". Du beau travail !

Les textes mériteraient un peu plus de réalisme par moment. Certaines bulles sonnent faux. Exemple, lorsque Gabrielle dit son ami Hugues, à propos de l'assassin de son père : "C'est trop bête ! Je n'ai toujours aucune indication sur son identité". Mouais....!

Enfin, les dernières pages vous proposent une interview des auteurs et une bio des personnages.

Je verrais donc ce que me réserve le prochain tome pour me positionnner clairement face à cette série. A suivre donc ! En attendant, n'hésitez pas à la lire pour la qualité du graphisme et pour me donner votre avis !

 

 

                          

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #BD...

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Publié le 11 Septembre 2010

Roman - Editions Stock - 148 pages - 15 €

 

 

Rentrée littéraire 2010

 

 

Résumé : "C'est le dernier jour, mais je ne le sais pas encore. Exactement comme au moment où a été pris ce Polaroïd. Je dois avoir dix ans, mes yeux sont plissés de fureur parce qu'on me force à me tenir face au soleil ou parce que je n'existe qu'en photo ; le tee-shirt bleu ciel des Dents de la mer ne me rappelle rien, le banc de sable qu'on devine flou derrière non plus, et du jour où cette photo a été prise, je ne sais que ce qu'on m'en a dit : qu'après l'avoir éventée pour la faire sécher, au lieu de l'empocher comme n'importe quel parent, ma mère me l'a tendue comme si elle ne voyait vraiment pas quoi en faire. Maintenant je la regarde sans me reconnaître tant je n'ai aucun souvenir d'avoir été aussi déterminée, aussi certaine, à cet âge, de ce que j'étais et de ce que je refuserais de devenir, et je finis par penser que si je dois quelque chose à quelqu'un, c'est à cette gamine énervée qui ne fixait pas sa mère mais un point déjà bien au-delà". Au fil d'une journée où se croisent ceux qu'on a trop aimés ou pas assez, un passé resurgit et se déconstruit peu à peu. A la folle jeunesse exprime, avec le plus de sincérité possible, les plus gros mensonges. Et inversement.

 

 

 

Tentatrice : une attraction surnaturelle...

Fournisseur : Libraire et porte monnaie !

 

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Mon humble avis : Mes mains, mues par une attraction irrésistible, ont saisi ce livre, mes yeux en ont parcouru la 4ème de couv. C'est décidé, A la folle Jeunesse sera MON achat grand format de cette rentrée littéraire. Je ne connais pas l'auteure. Ce n'est qu'un peu plus tard que ces premiers titres évoqués ici me rappelleront vaguement quelque chose. Je lis et ne trouve pas ce que je pensais y trouver. Et pourtant, ce livre est pour moi un coup de coeur et prouve une nouvelle fois la magie des livres.

Celui ci est il un roman ? Une autofiction ? Une autobiographie ? Peu importe, cela ne nous regarde pas et Ann Scott brouille brillamment les pistes. Ce qui nous importe, c'est la vérité que les mots portent en eux et l'écho que ceux ci trouvent en nous. Et chez moi, dans mon intérieur, il y avait un puit qui n'attendait que cette résonnance.

Il n'y a pas vraiment d'histoire ici et la chronologie des faits n'était pas toujours limpide à mes yeux. Ann Scott revient sur sa vie, sa famille, l'énorme succès de son premier roman et l'image médiatique qui lui colle à la peau. Je n'ai jamais été mannequin (et ne le serais jamais rhooo, j'suis pas équipée pour !), ni accro aux paradis artificiels. Je ne suis pas homosexuelle ni bi. Je n'ai jamais fréquenté la jet set plus ou moins intellectuelle. Mais je me suis souvent retrouvée dans les propos d'Ann Scott. Car Ann Scott écrit un amour asexué, universel : les doutes, le manque, l'absence, la rupture, l'obession, l'erreur. Celui aussi qu'on laisse passer sans le retenir, parce que parfois, on n'ose pas. Comme l'auteur, j'approche la quarantaine. Un âge charnière où l'on regarde derrière parce que le devant se raccourcit. Le bilan... Qu'ai-je fait de ma vie ?... Un vide et pourtant, je suis débordante de vie d'après tout le monde. J'ai fait plus de choses que la plupart des personnes qui ont fait ce que j'aurais aimé faire. Comme l'auteur, je regarde mon nombril, les gens que j'aime, et le monde... A travers un polaroide, des souvenirs, mes faits et gestes, la presse,internet, la TV, la foule, les autres. Et ce que je vois, de près comme de loin : contradictions intimes, universelles, sociales, écologiques...  Toutes ces contradictions me paralysent. Ann Scott a su prendre un stylo et écrire tout cela avec une émotion intense, une sincérité indiscutable et touchante. Un style intimiste, lucide,  très juste. Une oeuvre qui peut donner des réponses à ceux qui peinent à trouver leur place dans leur environnement, qui dit qu'il faut s'accepter et grandir pour avancer. Il faut renoncer.  Ca parait réducteur mais ce n'est pas toujours simple. Un roman réussi qui ébranlera la réputation "sex et rock & roll " de l'auteure pour lui donner l'image d'un talent qui dépasse le phénomène de mode.

 

Quelques extraits parmi mes innombrables "petites croix dans ma marge"

 

" Je reste en vol parce que je ne sais pas où me poser. Je suis de passage parce que je ne trouve rien sur quoi m'appuyer"

 

"je comprenais que ma peur de mourir est aussi le refus de rompre le lien avec les gens à qui je tiens. De les perdre, mais aussi de les abandonner."

 

"N'oublie pas pas que le gens croient toujours ce qui est écrit"

 

"Il n'y a que ceux qui ont accompli ce qu'ils avaient à faire qui peuvent espérer que le moment venu, ils auront le temps de regarder la chose en face, de dresser le bilan, de dire merci à la vie et d'accueillir avec curiosité le passage à l'état suivant, s'il existe. A quarante ans , je n'ai rien accompli." (je suis bien d'accord, les autres dresseront sans doute la liste de ce qu'il n'ont pas fait)

 

" L'étoile qui tremble émeut toujours plus que celle qui brille".

 

 

Allez, j'arrête là ! je vous encourage à lire le livre ainsi que le très beau billet de Sébastien

 

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Rédigé par Géraldine

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Publié le 9 Septembre 2010

BD - Editions Gallimard - 106 pages - 15.50 €

 

 

Résumé : La suite des aventures de Aya et de ses 2 copines Bintou et Adjoua, 3 jeunes filles vivant à Yopougon, un quartier d'Abijan, en Côte d'Ivoire, à la fin des années 70.

 

Dessinateur : Clément Oubrerie

Scénariste : Marguerite Abouet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mon humble avis :   Quel plaisir de retrouver ces 3 jeunes filles, même si Aya, la gentille et sérieuse est un peu reléguée au second plan, au profit de Bintou et Adjoua, ses copines plutôt coureuses, intéressées et très naïves.

Adjoua a mis son enfant au monde. Problème, celui-ci ne ressemble pas du tout au père supposé et épousé !

Cette fois ci, j'ai mis moins de temps à entrer dans cette BD qui pourtant me captive. Je suis maintenant habituée au parlé Africain et à ses expressions. Et, j'ai enfin réussi à différencier les trois héroïnes... par leurs coiffures, qui m'avaient échappée dans le premier tome.

Bien sûr, dans le 2ème tome, l'effet de surprise et de nouveauté de son prédécesseur n'est plus, mais le plaisir grandit encore. On retrouve tout les membres de ce quartier, dont on a peu à peu l'impression de faire partie. Certains personnages sont attachants, comme Hervé, le courageux mais analphabète cousin de Bintou. D'autres sont horripilants mais tellement drôles, comme Moussa, aussi glandeur et bête que son père n'est intelligent, travailleur et richissime. Ici les jeunes filles rêvent de s'affranchir de leur  condition et de la surveillance et de l'autorité paternelle ancestrale... Comment échapper à un mariage avec ce bon à rien de Moussa ? Et puis il y a bien sûr l'adultère, qui porte aussi le nom de polygamie...

Le tout est traîté avec humour et vivement mené, alors, pourquoi se privé d'une telle lecture ? Toujours aussi distrayante et instructive avec un bonus final qui cette fois ci, vous initie à mettre vos enfants au dos, comme le veut la coutume africaine. Encore un sympatique voyage en Afrique, sans oublier l'étape incontournable sous l'arbre à palabre !

 

 

"... On va le chercher dans le quartier"

"Et Aya, c'est comme chercher une machette dans un champ de manioc"

 

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Rédigé par Géraldine

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Publié le 7 Septembre 2010

Le dernier dimanche d'août, dans un lieu emprunt de magie et bucolique à souhait...

 

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...se tenait ....

 

 

 

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Ce lieu très reculé s'appelle Chanceaux, près de Loches en Indre et loire. Verdure, petit lac, allée boisée, pelouse près d'un château, petite chapelle... Bref, un endroit où pourraient se dérouler de nombreux romans... C'est là que ce dressait la Forêt des Livres, véritable salon du livre en plein air, sous un ciel... globalement clément. Bref, une sympathique ambiance de garden party.

J'y étais ! Et pas seule ! Cet événement fut l'occasion de donner RDV à mes copines blogueuses Keisha et AGFE. D'ailleurs, plus qu'un RDV, c'est un véritable week end que nous avons passé ensemble... Visite et rapport !

 

Une première allée vous mène dans le pré des bouquinistes...

Faux vieux, réellement ancien, presque neuf, à 1 € ou à plusieurs centaines d'Euro,classique ou SF,  pour lecteurpassionné, occasionnel ou collectionneur, il y en a pour toutes les bourses...

 

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A 11 heures du matin, l'allée principale n'est pas encore tout à fait envahie, mais des affiches auprès des tables présagent l'arrivée de "poids lourds". Pour l'instant, éditeurs locaux et auteurs régionaux (d'indre et loire, de bretagne et de navarre) sont là. Nous déambulons, parlons, rencontrons, palpons, lisons les 4èmes de couv et procédons aux premiers achats... Enfin, je procède pour être honnête....

 

Dans ce type de salon, il y a donc des auteurs méconnus et des auteurs ultra célèbres, les peoples, que l'on connait surtout pour leur trombine à la télé. Ils viennent ici défendre un livre, se montrer, rencontrer leurs fanset surtout... attirer du monde. Car, en toute logique, pas de stars = pas beaucoup de visiteurs = pas de salon.  Les gros vendeurs dont la réputation n'est plus à faire permette la présence de nouveaux auteurs. Ils éclairent donc, dans un premier temps, les inconnus... Mais une fois sur place, personne n'aimerait être l'auteur assis à côté de PPDA et plutôt ignoré par la foule en attente d'un autographe de leur idole. C'est la dure loi du marché... Mais pour les lecteurs plus curieux ou ceux qui ne focalisent pas sur la "peopolisation" des personnages, il y a des pépites d'or à découvrir, des auteurs lus ou non à rencontrer... Nous sommes dehors, en province, il fait beau. Chacun est détendu, souriant, dispo...

 

En avant pour un meltingpot tombinoscope !

 

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Voici Gordon Zola... Un auteur qui pastiche, parodie, se moque des travers des uns et des autres !

Echange sympatique,premier achat pour moi, adresse mail...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Fabrice Santoro présente un livre sur le tennis... Ces mémoires ? Ye ne sais pas. Je ne suis pas fan de tennis, mais n'ai absolument rien contre les beaux mecs bien bronzés et au sourire ravageur. Cela ne fait jamais de mal !

 

 

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Jean Jacques Debout assis à dédicacer (je sais, c'est facile ).... "Non non non non, tu n'as pas chanché"... C'est vrai, je lui connais la même tête depuis ma fanitude de sa femme, il y a 30 ans... Mais d'ailleurs, oh, mais où est Chantal, où se cache donc Marie Rose ? Sans doute à Morte Fontaine en train de réanimer Le Lapin (mais oui, ce matin, un lapin, a tué un chasseur ouh ouh...)

 

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Jean D'ormesson, président du jour, déclenche toujours l'émeute. La classe personnifiée. Et puis, for your  eyes only, only for you....

 

 

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Jacques Pradel ne nous a franchement pas aidées à retrouver Keisha, que nous avions presque perdue....

 

 

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Le cri du coeur de David Abikeret, mon 2ème achat ( à ce propos, comment être raisonnable sur un salon du livre.... réponse  ; oublier son carnet de chèque dans la voiture - et comme nous sommes dans la pampa, pas de TPE donc pas de CB. Premier distributeur à 8 km !)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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PPD, the voice (alias Yves Lecoq !)

 

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PPDA, the body ! Non, ce n'est pas moi qui tient le micro, je suis déjà bien occupée comme cela avec l'appareil photo.

Bon les filles, calmez vous... PPDA et moi, c'est fini. Au tiroir ! Mais je me suis vite consolée, un scoop à la fin de ce billet of course !

 

 

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TF1 était grandement représentée par ses anciens journalistes. Ici, un ex collègue de PPDA : Jean Claude Narcy qui arbore sa légion d'honneur. Il a du faire plein de choses... Je ne le connais pas plus que cela, ma télécommande me menant plus sur le service public...

 

 

 

 

 

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Autre légion d'honneur, un réel monument : Charles Aznavour. Mais que de monde devant et autour de lui. Invité d'honneur non mais ! Vive le zoom !

 

 

 

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THE rencontre of the saloon, en tous cas, MA rencontre inoubliable : Pascal Fioretto, le célèbre pasticheur, auteur notamment de "Et si c'était niais", chroniqué sur ce blog. Véritable dialogue, échange de plaisanteries et 3ème et dernier achat pour moi :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Didier Van Cauwelaert.... Beaucoup trop de monde pour moi qui aime l'intimité !!! Et puis... pas de poche. C'est le gros reproche que je ferais à ce salon. Les auteurs ne présentent que leur dernière oeuvre (à quelques exceptions près). Donc pas de livre de poche, que des grands formats. Aucune pitié pour les petits budjets. Dommage, j'aurais acheté plus...

 

 

 

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Je termine cette galerie de portraits (faute de temps, pas de stock !!!!) avec la Star toutes catégories confondues de la queue... de cheval . Mi corsaire, mi cow boy, le chanteur sait séduire ces dames ! Trève de plaisanterie, Francis Lalanne (sans ses bottes) a fait une sacrée ombre à Joseph Joffo. Si, si, je vous le jure...

 

mais keskilafait ???

Souvenez vous...

"Promets moi, si tu me survis,

D'être plus fort fort que jamais

Je serais toujours dans ta vie

Près de toi-aaaa- je te promets éééé

Et si la mort te programme  - ame..

sur son grand ordinateur... eur !

De ne pas en faire un drame,

de ne pas en avoir peur ... eur !"

 

 

Etaient aussi annoncés par la presse ou par des emplacements prénommés pour dédicaces :

 

 

 

 

 

Florian Zeller, Marc Levy, Bernard Werber...  Pas vus, pas pris, pas là....

Marc s'est excusé tellement à l'avance que les organisateurs ont eu le temps d'afficher cette excuse :

 

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Vous ne parvenez pas à lire... Voici en bref... Désolée, je dois rester au Quebec dixit mon éditeur... Pas sympa Robert Laffont !

 

 

 

 

Bon, sinon, il y avait aussi la foule : 

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Keisha nous prédisait... 50 000 personnes. Bon, evidemment, quand on habite la 4ème ville du Loire et Cher, 1 personne en vaut dix !!! Mais la presse dit tout de même "entre 20 000 et 50 000 ! Pas de panique, quand on est à l'air libre, cela paraît beaucoup moins condensé que le salon du livre de la porte de Versaille !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ATTENTION SCOOP ---------

 

 

AGFE et moi avons été interviewées par un journaliste de  la Renaissance Lochoise, hebdomadaire de la Touraine de la  Sud. Normalement, parution de l'article aujourd'hui (le 31/08).... Pas trouvé sur le net... A confirmer, ma soeur, lochoise, doit vérifier cela et acheter X exemplaires du journal le cas échéant !

 

 

ATTENTION, EXCLU SCOOPEUSE-----------------------------

 

 

Les filles, je vous promettais du croustillant, je vous disais que j'avais relégué Patrick au placard.... je gardais donc le meilleure pour la fin.... Mon idylle de 35 secondes avec l'atout charme de ce salon... L'acteur Vincent Perez, présent ici en qualité de scénariste BD.... Bon, cela reste entre nous, je ne voudrais pas avoir de problèmes avec Mme Perez !

 

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 Voyez, même en plein interview, il n'a d'yeux que pour moi !!!

 

 

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Bon pas forcément très littéraire tout ça !

Mais tant qu'il y a du plaisir !

 

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Le rapport d'AGFE

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Spectacles concerts théâtre salons

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Publié le 5 Septembre 2010

Allez, réchauffons un peu l'atmosphère (car c'est vrai que mon billet précédent n'était pas forcément bien gai).

Voici une chanson que j'adore, qui met de bonne humeur, qui vous entraîne et vous donne envie de saluer tout le monde. "Je veux" de Zaz pourrait presque être mon hymne (sans tout prendre au pied de la lettre of course !)

J'ai acheté l'album de cette jeune artiste, véritable révélation de l'été. Et je ne saurais que trop vous le recommander. C'est un régal ! Et je n'hésite pas à surnommer ZAZ la Piaf du 21ème siècle !

 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #musique - chanson

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Publié le 4 Septembre 2010

 

Synopsis : C'est l'histoire d'un homme qui reçoit la visite de son cancer. " Bonjour, lui dit le cancer, je suis votre cancer. Je me suis dit que ça serait peut-être pas mal de faire un petit peu connaissance... "

 

 

 

Comédie avec Albert Dupontel, Jean Dujardin et Anne Alvaro...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

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Mon humble avis : Un film surprenant. Et tellement surprenant qu'on ne sait pas quel bout le prendre, l'"apprécier", l'aimer ou le détester.D'un côté, la bande annonce réunit les moments les plus drôles et semble promettre un film léger, et ultra grinçant, bref, du Dupontel. D'un autre côté, l'affiche prévient : c'est un film mortel... Et je confirme, l'ensemble est assez plombant et laisse un goût amer dans la bouche, accompagné d'une sensation de malaise. Certes, les bons mots et les réparties que l'on attend d'un tel duo d'acteurs ne manquent pas, avec des scènes qui prêteraient bien à sourire si l'ensemble n'était pas aussi tragique. D'ailleurs, une séquence est particulièrement malsaine, qui voir une femme de la cinquante bien tassée avoir une relation sexuelle avec un gamin de 16 ans. Ce passage n'a rien à faire dans le film et n'apporte rien à l'histoire. Comme s'il fallait choquer pour réveiller l'attention du spectateur. Car je dois avouer que je me suis souvent ennuyée dans ce film, même si certaines réflexions sur la vie, la mort et la maladie sont justes et bien menée. Et de ce fait, ce film sera tout à fait déconseiller aux personnes atteints de ces maladies aux sales noms, au même à leur entourage. 

Que de longueurs et de répétitions, dans les situations et les dialogues. Encore un film où, si je n'avais été accompagnée, j'aurais sans doute quitté la salle. Et l'interprétation dans tout cela ? Très inégale, à moins que cela soit un choix du réalisateur : on passe sans transition d'un ton théâtral, limite caricatural, aux émotions intenses et un jeu d'acteur digne et réaliste... Par contre, je ne doute pas que Dujardin et Dupontel ont du partager de sacrées crises de fous rires en tournant ce film. Quant à la fin, elle me semble plutôt bâclée, sauf si elle est mise en scène pour laisser place à l'interprétation de chacun. Résultat : déception globale, dommage, c'était mon dernier ciné avant un petit bout de temps.

  

   

 

 

 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma Français

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Publié le 3 Septembre 2010

Voilà bien longtemps que je n'ai pas communiqué sur mon état de santé, depuis septembre 2009.

 

Certains ici ne l'ignorent... En janvier 2008, j'ai fait un AVC, heureusement sans séquelles physiques (explication dans la page sur la droite intitulée AVC et suite...)

 

A compter de juin 2008, j'ai commencé à partir "en vrille" sous l'oeil aveugle des médecins. Ce n'est qu'à l'automne de cette même année, suite à une hospitalisation volontaire en clinique psy, que le diagnostique est tombé : Syndrome de Stress Post Traumatique. 90 % des personnes ayant un AVC, un infarctus (etc) trop jeunes (j'ai moins de 40 ans) se retrouvent assortis de cette pathologie dans les mois qui suivent l'accident, où la presque rencontre avec la mort. Le stress post traumatique se retrouve aussi chez les survivants de tremblements de terre, d'attentats ou toute personne ayant vécu un grand traumatise corporel et/ou psychologique.

Bien entendu, aucun médecin ni hopital ne vous prévient de cette conséquence possible et assez courante, histoire que vous ne vous soignez pas trop tôt et que vous preniez les premiers symptômes pour un  état de fatigue passager... bref... sans commentaire.

 

Le syndrôme de stress post traumatique se traduit par un état anxio dépressif majeur, lui même pouvant se traduire différemment suivant les patients.

De mon côté, c'est le stress, la nervosité, les crises de panique, les crises convulsives, l'angoisse, acouphene permanent, la peur de refaire un AVC, la peur de faire ce que je faisais sans peur et sans reproche par le passé, une hyper émotivité (bon, pas forcément nouvelle celle ci...). Je suis toujours restée volontaire, active, à sortir, à "vivre" ou plutôt survivre, à lire, à écrire, à bouger, à rencontrer et surtout à me battre contre cette foutue maladie. Et puis je suis experte en Yoyo. Je passe de l'euphorie et l'excitation au sentiment de panique totale sur mon état et mon avenir. Voici un petit aperçu de mon parcours médical, bien résumé évidemment...

 

Depuis septembre 2008....

6 semaines en clinique psy

4 mois de gros troubles du langages

séance de thérapie hebdo

9 mois d'arrêt maladie complet (et pas de bébé en récompense !)

une année scolaire de mi-temps thérapeutique au boulot, suivit par une mise en invalidité partielle

17 kg supplémentaires

Des tonnes de médicaments avalés docilement, 4 traitements différents

Depuis décembre un 2ème psy qui prescrit les médicaments

 

J'ai aussi testé pour vous, hors sécurité sociale, des médecines alternatives ...

- La kiné de recentrage énergétique (environ 40 € la séance)

- la magnétiseuse ( environ 30 € la séance)

et l'EMDR (entre 35 et 60 € la séance, suivant que vous fassiez cela chez une psychologue ou un psychiatre)

- Et l'hypnose aussi.

 

Résultat :                                                            

 

 Dans les symptômes que je subis actuellement, je ne sais plus ceux qui sont dus à la maladie, à mon caractère, à mon traitement et ses effets secondaires (énorme fatigue, maux de têtes attroces et réguliers, les kilos qui s'accumulent, une constipation chronique depuis 2 ans, devenue obsessionnelle...)

 

Je voudrais juste qu'on me rende ma vie d'avant. Alors voilà, à compter de ce vendredi, je suis hospitalisée à nouveau, à ma demande, en clinique psy, pour une durée de 15 jours à 3 semaines (j'espère pas plus).

L'objectif de cette hospitalisation est un sevrage médicamenteux.Je demande à arrêter tout traitement psy pour voir si... je ne ne me sens pas mieux sans, si je reperds mon poid, si je n'ai plus mal à la tête et surtout, si je ne suis plus fatiguée le matin au point que mes journées ne commencent qu'à midi.

Ce sevrage médicamenteux devrait ressembler à tout autre sevrage (alcool ou drogue ??). Ce ne sera donc pas une partie de plaisir mais j'espère que c'est pour la bonne cause.

Et même si mes souffrances psy ne cessent pas, au moins, ce seront mes propres souffrances et non des effets secondaires d'interaction inter-médicaments.

J'ai juste hâte que tout cela se termine, même si j'ai les chocottes. Et j'espère de tout coeur avoir pris la bonne décision. A suivre...

 

Je précisen pour les personnes qui seraient dans le même cas que moi, que l'arrêt des médicaments ne se fait jamais brutalement ni sans accord médical, voire entourage médical. Loin d'être un coup de tête, ma décision est mûrement réfléchie et a obtenu l'aval de 3 médecins psychiatres. Donc pas de bêtise hein camarades ?! (si vous avez des questions, contactez moi par le lien contact, en haut à gauche de ce blog), je vous répondrais dans la mesure du possible à mon retour de clinique.

 

Enfin, lecteurs habituels, blogueurs, blogueuses, abonnés, visiteurs occasionnels... Ce blog marche bien en ce moment. Mon référencement google est assez bon et ce, grâce à vous. Pendant mon absence, je continue à publier, mes billets (plus ou moins littéraires) sont tous programmés (car bien sûr, pas d'accès internet en clinique !). Donc merci de rester fidèle à ce blog, de le visiter et de le commenter, histoire qu'il soit en aussi bonne forme que moi à mon retour !

Quant à mes visites bloguesques, elles vont forcément s'interrompre un peu. Mais I'll be back !

 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #apparté santé

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Publié le 1 Septembre 2010

Roman - Livre de Poche (Sonatine Editions) - 602 pages - 7,50 €

 

 

 

Résumé : Joseph a douze ans lorsqu’il découvre dans son village de Géorgie le corps d’une fillette assassinée. Une des premières victimes d’une longue série de crimes.
Des années plus tard, alors que l’affaire semble enfin élucidée, Joseph s’installe à New York. Mais, de nouveau, les meurtres d’enfants se multiplient…
Pour exorciser ses démons, Joseph part à la recherche de ce tueur qui le hante.

 

 

 

 

 

Inspirateur : blogs et pourquoi pas !

Fournisseur : Salon de St Malo et présence de l'auteur. 

 

 

 

 

     

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Mon humble avis : Whaou, effectivement, voici un livre que je ne suis pas prête d'oublier. Et pourtant, pas de grandiloquence, ni d'effets spéciaux, ni de tapages nocturnes ou autre dans ces pages. Juste une histoire en Amérique profonde qui couvre plus d'un demi siècle (avec bien sûr, des sauts de puces, voire de géants, dans le temps). En 1939, à 12 ans, Joseph est orphelin de père, la guerre éclate en Europe et les crimes atroces de fillettes commencent dans son village. Joseph découvre lui même un des cadavres, il en sera traumatisé et obsédé à vie. Surtout que le sort s'acharne sur lui et qu'aux yeux du monde, il faut un coupable...

 

Moi qui suis récalcitrante à lire des pavés, j'avoue que celui ci m'a bluffée et engloutie alors que je le dévorais. Ce roman distille un mystérieux magnétisme qui rend tout abandon ou lassitude impossible. Les meutres sont présents, quelques uns décrits de façon raisonnable pour être crédible mais supportable. Mais en même temps, ils ne semblent pas le centre du livre. Le plus important est dans le récit du narrateur Joseph, dans l'atmosphère, le presque huit clos villageois dans la première partie, les conséquences de la 2ème guerre mondiale jusque dans un village isolé de Géorgie, l'évolution ou le surplace de la mentalité du sud des USA, la rigidité du système judiciaire, la manipulation individuelle ou globale. Et puis, il y a aussi la naissance d'un écrivain. Joseph écrit pour lui même, puis pour son institutrice, puis pour un concours local... Y-at-il ici un aspect autobiographique ??? En tout cas, les paragraphes liés à cette chrysalide entre l'enfant/auteur et l'adulte écrivain sont magnifiques, d'une justesse incroyable. Ils donnent lieu à des passages ou des dialogues que l'on ne peut que surligner. Les relations entre les personnages sont finement analysées. Le destin tragique de Joseph ne peut laisser personne indifférent. Ce livre est sombre certes, mais pas plombant. L'écriture est sobre et mélancolique. Le suspens est présent jusqu'à la fin. Mais ici tout est différent. Nous avons ici un livre hors normes !

 

Faute de classer véritablement ce livre dans la catégorie thriller, je n'hésite pas à lui attribuer la médaille de chef d'oeuvre. R.J Ellory fait preuve ici d'un tel talent qu'on en vient même à douter de notre position de lecteur. On ne lit pas un livre, on écoute une histoire, comme si une voix résonnait dans notre tête. On écoute ce qu'Ellory a à nous dire et dans ce cas là, Seul le silence s'impose. Et le silence est souvent signe de respect et d'admiration. C'est le cas ici. Oh oui.  A lire, d'urgence.

 

L'avis de Stéphie et Ys

 

 

                                                  challenge ABC

                                                               E

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #thrillers polars étrangers

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