Publié le 11 Juin 2012

Roman - Folio Editions - 111 pages - 4.60 €

 

 

Parution sous format poche : Décembre 2002

 

 

  L'histoire : Le narrateur est l'homme. L'homme qui sombre. Qui fait naufrage et qui dit pourquoi. Il le dit à sa fille d'à peine deux ans. Il lui explique la mort de sa mère, son travail, le monde, la société. Non, vraiment il n'en peut plus. Il a baissé le bras. Et si la lueur venait de l'inattendu ?

 

 

 

 

Tentation : Le sujet et l'auteur

Fournisseur : Ma PAL

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

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Mon humble avis : Non, ce n'est pas un énième livre sur la dépression. Comme il y a 10 000 raisons de tomber en dépression, il y a moult façons de la vivre et d'y survivre et donc autant de manières de traiter le sujet. Philippe Claudel a choisi une version aussi bien intérieure qu'extérieure, presque factuelle et surtout le moment fatidique de l'abandon : plus envie de se battre. Le narrateur explique les raisons qui lui font baisser les bras, mais ne détaille pas la douleur. Il constate ce qui le rend étranger à lui même et aux autres. Comme s'il laissait au lecteur le soin de l'interpréter, de la ressentir, de l'imaginer en fonction de son être profond. D'ailleurs, il me semble qu'aucun personnage n'est prénommé dans le texte, ce qui permet à chacun de se l'approprier où d'y voir qui il veut.

Notre homme subit la vie comme un rouleau compresseur. Sa femme est décédée d'un accident de voiture, lui laissant leur fillette encore bébé à élever. L'extérieur l'agresse, que ce soit la vulgarité gratuite de notre société, la bêtise humaine, l'indifférence, et pire que tout la haine qui semble le caractère le plus naturel de l'Homme. Et son travail... Il supporte toute la sainte journée un collègue que l'on pourrait qualifier de bourrin. A eux deux, ils sont des hyennes. A l'hopital, lors d'un accident mortel ou d'un décès, ils appellent la famille. Leur rôle, par un procédé bien rodé : pousser la famille dans la douleur de la nouvelle a accepter le don d'organe. "Nous sommes là pour prendre aux morts et donner aux vivants" Notre narrateur est donc chaque jour en contact avec la mort. Pas de mort, pas de travail... Concept pas facile à vivre, surtout quand son collègue bâcle la mission pour aller supporter, en déguisement de supporter de foot, le PSG lors d'un match.

C'est un texte aussi violent que doux. Violent car presque froid dans ce constat incompris. J'ai lu sur certain blog que le narrateur était psychotique. Je ne le crois pas. Il est bien conscient de ce qu'il vit, il cherche juste une branche à laquelle se retenir.

Et doux car l'homme parle à sa fille, lui parle de ses caresses, de ses nuits de veille quand elle est malade, de ses premiers mots, de ses cuisses potelées, de ses rires. Mais elle est tellement trop jeune pour l'aider.

Cette confession se déroule presque en temps réel, même si l'esprit du narrateur voyage entre son appartement, un couloir de métro ou un bar pour revenir dans "le confessionnal". Où pendant 3 heures, son collègue et lui tentent de conduire "une cliente" effondrée par la mort de sa fille d'accepter le don d'organe. Notre narrateur sort du protocole, lâche prise, pète les plombs et alors, peut-être trouvera-t-il la main qui le relèvera.

Tout est dit avec un ton extrêmement juste. Mon seul bémol irait au personnage de la babysitter que je trouve bien trop déjanté et peu crédible. Car si j'étais parent, même usée jusqu'à la corde, je crois que jamais je ne confierais mon enfant à une fille aussi vulgaire, disjonctée, très peu clean et pas concernée du tout par son rôle.

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Littérature française

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Publié le 10 Juin 2012

Synopsis :

 

Les nouvelles aventures de la brigade de 21 Jump Street, un groupe de jeunes policiers pouvant aisément se faire passer pour des adolescents et ainsi infiltrer les réseaux des trafiquants de drogue qui sévissent dans les milieux universitaires californiens.

 

 

 

Comédie policière avec Jonan Hill, Channing Tatum, Ice Cube et.... surprise !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

étoile2.5

 

 

Mon humble avis : Libre adaptation, très libre adaptation de la série TV phare des années 1988 - 1995.... Au point que nous sommes ici plutôt dans une parodie frôlant le burlesque. L'auto-dérision est telle qu'elle ne peut être que revendiquée !

Alors évidemment, les aficionados nostalgiques de la série seront tout d'abord déboussolés. Soit ils seront déçus franchement, à moins qu'ils prennent le parti d'en rire et de se détendre et alors ils passeront un moment fort agréable  de vraie rigolade.

Ceux qui ne connaissent pas la série TV pour cause de jeunesse ou de vie sur une autre planète ou pas dans la bonne époque.... et bien ils iront voir ce film pour ce qu'il est, un bon divertissement, de qualité correcte dans sa catégorie. Les gags s'enchaînent, l'action s'intensifie au fil du film pour devenir frénétique. Bref, au niveau de l'action et de l'intrigue, on ne s'ennuie pas un instant. Et en plus, pour le même prie, on se paie de bonne tranche de rire tant les non sens et l'aspect appuyé de la comédie limite loufoque et lourdingue fonctionnent.

J'emets une légère réserve sur l'acteur jouant le rôle du beau gosse, celui interprêté dans la série par l'irremplacable Johnny Deep qui, depuis connait une carrière fulgurante sans traversée du désert ! Bref Channing Tatum est pour moi un peu lisse.

Ayez l'oeil, car quelques comédiens de la série font une courte apparition, notamment Holly Robinson qui jouait Judy il y a 20 ans... Et puis bien sur, un énorme clin d'oeil bienvenu : Johnny Deep himself nous honore de sa présence dans une scène très très drôle car inattendue.

Au final, on est loin de la série et de l'ambiance qui règnait dans la chapelle de 21 jump street, mais on se détend et le film, sans être le film de l'année, se regarde bien, en tenant compte des conditions sitées si dessus !

 

 

Pour les fans de la série (donc moi en premier !), je ne peux m'empêcher d'ajouter le générique de la série d'origine, diffusée en France pour la première fois le 2 janvier 1990 et qui comportait 103 épisodes en 5 saisons.
Les acteurs de l'époque étaient Johnny Deep (Tom Hanson)
                                                           Peter Deluise (Doug)
                                                            Holly Robinson (Judy Hoffs)
                                                            Steven Williams (Capitaine Fuller) 
                                                            Michael Bendetti (Officier Tony Mc Cann)
 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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Publié le 9 Juin 2012

LA fin de ce long reportage thématique sur le Sri Lanka approche. Encore quelques sujets à developper, mais où mettre tous ces paysages magnifiques vus de part et d'autre du Sri Lanka et qu'il est hors de question de ne pas partager et de ne pas en garder une trace, un souvenir. Morceaux choisis, best off !

 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Voyages en Asie

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Publié le 7 Juin 2012

Roman- Editions Livre de Poche - 272 pages - 6.50 €

 

 

Parution en poche en avril 2009

 

 

L'histoire : Mercredi 23 mai, Justine reçoit un appel. Malcom, son fils de 13 ans est à l'hôpital, dans le coma. Sur un passage piéton, il a été fauché par une voiture qui ne s'est pas arrêtée. Des témoins ont relevé une plaque d'immatriculation incomplète.... Alors que le coma de Malcom se prolonge, Justine n'a plus qu'une idée en tête.... Retrouver celle qui a fait ça (un témoin : elle avait les cheveux blonds) et comprendre pourquoi, pourquoi et comment elle a pu ne pas s'arrêter...

 

 

 

Tentation : L'auteur + ma PAL

Fournisseur : Ma PAL !!!

 

 

 

 

 

 

 

  

 

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Mon humble avis : Et bien il est mitigé. Bien sûr, le sujet est prenant et révoltant. La lâcheté des uns, la douleur d'une mère atteinte dans la propre chair par l'intermédiaire de son adolescent de fils, plongé sans un profond coma.

La souffrance de la mère, Justine est extrêmement bien décrite, tout comme celle de son mari, Andrew et la différence dans laquelle celles ci s'expriment, créant un espace de plus en plus béant entre eux. Chacun s'enferme dans son cauchemar qui est pourtant commun à l'autre. Et puis il y a l'entourage aussi... Celui qui réagit "comme il faut", et l'autre qui baisse les yeux pour ne pas affronter la détresse des blessés. Il y a la vie quotidienne, professionnelle qui prend tantôt l'aspect d'un refuge, tantôt celui d'un envahissement secondaire.

J'ai apprécié aussi la double nationalité francobritanique de cette famille, qui amène de l'espace, une autre langue pour dire l'indicible et qui explique encore un peu plus la disparité des réactions. Et puis cela donne quelques expressions anglaises bien placées (et dieu sait que cette langue m'est savoureuse) et des traductions de chanson que l'on fredonne souvent phonétiquement. Enfin, le personnage de la belle mère Anglaise m'a bien plu.

Pour l'instant, j'encense.... Alors... Alors voilà, c'est la mère, Justine, qui m'a agacée. Ses plaintes, ses doutes, ses révoltes, ses questions, même si légitimes, sont bien trop récurrentes dans le roman que j'ai donc trouvé très redondant dans son ensemble. Son lymphatisme a lâché mon intérêt. Non que je ne le comprenne pas, non que je le juge (toujours l'éternelle question de qu'aurais-je fait à sa place).... Mais la quatrième de couv, décidément souvent coupable m'annonçait "Seule contre tous ou presque, Justine veut découvrir la vérité, jusqu'au bout et à n'importe quel prix"..."Tatiana de Rosnay entraîne son lecteur dans un étourdissant suspens psychologique...". Et bien tout cela, je ne l'ai pas vu, pas ressenti, ce qui fait que je suis un peu restée extérieure à cette histoire, même si, évidemment, je n'étais pas insensible à la fin que l'auteur allait me proposer. D'ailleurs, là aussi... Il y a un coup de théâtre... Je l'ai vu tout de suite, ses conséquences me sont apparues clairement en une seconde, bien avant que les protagonistes ne saisissent l'ampleur de ce qui se passe devant eux. Cela n'ôte rien à l'horreur de la situation, mais cela n'a pas apporté pas beaucoup de frémissements à la lectrice que j'étais et qui reste partagée par cette sensation d'impatience, d'ennui malgré toutes les qualités que ce roman renferme.

Tatiana de Rosnay a fait bien mieux et refera bien mieux, j'en suis sûre. 

 

L'avis d'Esmeraldae, de Stéphie, de Lasardine

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Littérature française

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Publié le 6 Juin 2012

 Le titre de la chanson, c'est chère amie, de Marc Lavoine.

Cette chanson, je l'ai chantée au masculin il y a plus de 10 ans.... Je le publie ce jour car ce soir, si tout va bien (billet programmé), je dîne avec certaines personnes à qui s'adresse directement cette chanson.

Mes amis, je ne les ai pas perdus vraiment. Mais le temps, la distance, les épreuves des uns, les maladies des autres, les amours jaloux où simplement la vie, font que pour certains, on s'est croisé il y a 7 ans, le reste remonte à 11 ans, voire 20 ans. Si l'on se revoit, on sera forcément content, comme si l'on s'était vu avant hier. Ces amis qui à  une époque, m'ont tout donné, dont l'affection et la confiance en moi.

Mais je vous jure que cette chanson je l'ai écoutée en larme en juillet 2001 lorsque deux de mes meilleurs amis quittaient la Guadeloupe à bord du FUJ, un B 737 d'Air France qu'ils rapatriaient en métropole, l'un en tant que copi, l'autre en tant que mécano. J'étais seule en bout de piste pour voir décoller cet avion une dernière fois depuis l'aéroport de Pointe à Pitre. Et rien que pour moi, le 737 a fait un battement d'ailes au dessus de moi. Rien que pour moi ! 

Tout ça pour dire que je suis mélancolique.... Mélancolique des nuits passées dans un hamac sur un ilet désert, les barbecues, les mac do,  les séances piscines, les clés de voiturs tombées au fond du port,  les périginations dans la caraibe; en petit coucou, en bateau, sous l'eau, à la rencontre des perroquets ou des poissons anges ou demoiselles... voire , par chance une tortue. Les photos prises dans les réacteurs du B 737  avant que ben Laden impose de nouvelles lois, les petits dej aux Saintes, le bateau en panne à 1500 m du port, le chien sauvé des eaux, les parties de belottes, à se demander si l'on se battait contre un valet ou contre des moustiques....  Ce billet s'adresse aussi aux ami'(e)s avec qui j'ai traversé New York, L'ile Maurice, la France, le Canada, le périph abonniable de 7 voies X2 de Houton, les boites jusqu'au petit matin à Londres, les pastas dans une chambre et la tortilla des patatas dans une autre chambre le lendemain à Londres, les nuits à refaire (et à l'apprendre) le monde en BTS, les heures au téléphones, La crète, l'ile Maurice, la Bretagne, le Mexique, La Floride de long en large, Le Népal et l'Algérie (quels souve nirs !) le Sri Lanka, le Bac, des heures au téléphone entre Les sables d'Olonne et St jean de Mont, les tours de manège, le bon vin à Bergerac.... Non  mes amis, je vous jure je n'ai rien oublié, vous me manquez, mais chez moi, il ne fait pas si beau, alors je préfère le silence. La santé, le temps qui passe, l'âge, font que quelque part, je dois faire le deuil d'une époque où je menais une vie peu ordinaire à laquelle vous avez largement contribué. Même si j'ai perdu de vue certains d'entre vous, non je n'ai rien oublié. Et ce n'est pas parce que je ne donne pas de nouvelles que je ne pense pas à vous. C'est juste que je n'ai pas de bonnes nouvelles à vous annoncer et même si vous me manquez, je préfère rester silencieuse et que vous gardiez l'image de moi de l'époque... avant que la Géraldine de l'avenir prenne forme.

J'ai fait le choix à une époque de vivre de par le monde, à Londres, en Floride, en Guadeloupe, en France à droite à gauche. J'en paie la pots cassés. Vous êtes éparpillés dans les 4 coins de la planète ou de l'hexagone et on ne se voit pas si souvent. Est-ce que le jeux en valait la chandelle ? Je crois que oui, même si c'est parfois douloureux car chers amis, je me souviens de tout. grâce à vous. Et même si je ne donne pas de nouvelles, comme le dit la deuxième chanson, vous êtes la bienvenue avec ce que vous êtes.

Il faut juste que je m'habitue, que j'accepte de mener une vie plus ordinaire, plus tranquille, parce que ma santé en a décidé ainsi. Même mon travail risque de me mener dans une vie calme, qui me fera du bien au niveau santé et me rassurera. Heureusement,grâce à vous, j'ai pris un sacré acompte sur la vie, alors je devrais résister. Alors merci à vous. Ce billet est pour vous rendre hommage, amis ou rencontres du bout du monde qui m'ont permis de grandir, d'être moi, d'avoir assez de souvenirs en réserve pour le reste de ma vie, même si celle ci devait devenir banale, banale n'est pa le bon mot, car péjoratif, mais normal à mourir pour moi, ce à quoi je ne suis pas habituée. Car grâce à vous, j'ai réussi à avoir une partie de vie que je considère comme peu ordinaire ! Merci à vous !

 

 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #musique - chanson

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Publié le 5 Juin 2012

 Rubis, saphir bleu,alexandrette rouge, aigue marine, topaze, oeil de chat, améthiste, saphir, tourmaline jaune, opale orange, jadéite...  Une fortune pour certains, un modeste présent pour d'autre, un rêve, un juste un bijou...

 

Mais au Sri Lanka, une prodution importante et reconnue.

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Mais tout d'abord, c'est un gagne pain, souvent miséreux et dans des conditions dangereuses et pénibles pour des Sri Lankais qui, depuis la nuit des temps, creusent des puits pas beaucoup plus larges que et profond de plusieurs mètres Ils atteignent ainsi le lit d'ancien cours d'eau.

  

  

 

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 Ces mineurs se transfoment alors en chercheurs d'or et tamisent le gravier patiemment, dans l'espoir d'y trouver un petit caillou...

Quand c'est le cas, le bénéfice se partage entre le propriétaire du terrain, l'entrepreneur, l'expert et les ouvriers et les mineurs. Autant dire que ceux ci ne touchent pas grand chose. Surtout qu'il faut attendre que la pierre soit taillée pour connaître sa valeur exacte.

 

 

 La visite de ce site ne m'a pas forcément mise très à l'aise. Impression de voyeurisme, espoir de ces mineurs de nous vendre une pierre dont rien ne nos garantis l'authenticité et aussi, la définition qu'un touriste à forcément les moyen de s'acheter une pierre précieuse...

 

 

Car, petit conseil noté dans TOUS les guides, attention, beaucoup de fausses pierres circulent. Donc, si vous voulez vraiment acheter une vrai pierre précieuse, prenez toutes les précautions expliquées dans ces guides.

   

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 Au Sri Lanka, les pierres précieuses interviennent aussi dans l'astrlologie... En vue d'un mariage, l'astrologue détermine la pierre la plus bénéfique à chacun, pierre qui devra être portée directement en contact avec la peau.

 

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On était alors au début de la chaine.... Puis nous avons visiter une fabrique de bijoux officielle, reconnue, légale, ayant pignon sur rue. Où l'on vous explique, où l'on vous laisse observer et où l'on ne vous presse pas parce qu'avec votre petit sac à dos Décat...., on sait parfaitement que vous n'avez pas les moyens des modèles exposés...

 

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 Le métier de ce jeune homme est de créer, de dessiner des bijoux. Voici un exemple de son travail.

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 Ensuite, les petites mains entre en scène, elles les prennent les pierres montées sur des tiges et les tailles sur des tourneurs jusqu'à obtenir la forme souhaitée. Quelques étapes plus loins, nous aboutissons à cela...

 

 

 

 

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Après, on aime ou on aime pas... On économise pour voyager ou pour s'offrir ce genre de bijoux. Chacun fait fait fait s'qui lui plait plait plait !!!

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Voyages en Asie

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Publié le 3 Juin 2012

Roman - Edition Belfond - 331 pages -20.50 €

 

 

 

Parution en juin 2010

 

 

Parution aussi chez Pocket en 2011 - 7.40 €

 

 

 

 

L'histoire : Au fin fond de la Tanzanie, Mara et John tiennent un lodge qui agonise.... les clients se font rares car à quelques heures de route, se trouve un hôtel de luxe. Et puis John a décidé de ne plus chasser avec ses clients, mais juste de leur apprendre à observer les animaux... Ce concept ne fonctionne pas encore alors John se trouve contraint d'accepter un safari qui l'emmène 5 semaines loin de chez lui.

Pendant ce temps, Mara reçoit une visite surprenante. Un producteur de cinéma américain cherche le lieu idéal pour tourner un film en décors naturel. Il semble que le lodge soit parfait. Toute une équipe de film débarque donc.... et sauve ainsi le lodge de la ruine. Oui, mais dans le film, il y a une actrice qui a ses caprices et ses malheurs et un acteur qui est forcément très... magnétique !

 

 

 

 

Tentation : La blogo et la terre africaine promise dans ce roman

Fournisseur : Keisha, merci pour le loooooong prêt, plus d'un an !

 

 

 

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Mon humble avis :C'est vraiment la promesse d'un voyage en Afrique qui m'a dirigée vers ce livre. Et ce voyage, je l'ai eu. Nous sommes en pleine brousse, dans la savane, non loin d'un point d'eau où le soir, viennent s'abreuver zèbres, Impalas et parfois éléphants. L'auteure est née en Tanzanie, alors on peut lui faire confiance pour décrire à merveille l'ambiance et l'atmosphère africaine de la fin des années 60. Les odeurs, les couleurs, les sons, l'espace, l'immensité, le danger animal, les fleurs, la chaleur, la touffeur africaine, tout y est. Katherine Scholes partage aussi sa connaissance de l'Afrique, de ses us et coutumes. Les relations entre blancs et Tanzaniens, (et la hiérarchie entre les tanzaniens eux mêmes) sont également bien décrites, expliquées.  L'histoire se déroule quelques années après l'union du Tanganika (indépendant depuis 1961) et de Zanzibar qui fit naître la Tanzanie en 1964. Le contexte géographique et historique tient donc une réelle importance dans les relations humaines. La fin des années 60, c'est aussi l'époque où les touristes venaient en safari en Tanzanie pour ramener un trophée : un pied d'éléphant, une corne d'ivoire... Bref, les touristes étaient des chasseurs et tuaient l'animal au lieu de le prendre en photo. Et dans ce livre, nous sommes à la période charnière où les chasseurs locaux commencent à s'interroger sur le bien-fondé de leur activité. Leur regard sur la richesse représentée par l'animal change.... mais le monde ne suit pas encore. On en est au balbutiement de la prise de conscience : les habitants de la savane sont bien plus intéressants vivants que morts et le côté ridicule et immoral de la chasse touristique apparaît. Toutes ces choses, auxquelles ont peu ajouter l'aspect plus léger des méthodes de tournage d'un film donnent à ce roman un aspect culturel, un intérêt indéniable.

Maintenant, il y a le reste... L'histoire en elle même n'est pas désagréable, elle apporte même un aspect récréatif entre deux lectures plus pesantes. Mais rien de très original non plus. L'écriture est élégante et soignée. Mais, mais... J'ai trouvé le style comme l'histoire d'une mièvrerie assez agaçante. Oui, il y a de superbes passages, mais d'autres traînent en longueur, même si, entre deux, quelques rebondissement relancent l'ensemble. Mais franchement, les états d'âmes de nos héros, les descriptions interminables et langoureuse de leurs hésitations, de leur jeu amoureux "je veux mais je ne peux pas, cela ne mènerait à rien", m'a plus fait penser à une série télévisée au savon... Le style devenait alors mielleux, trop affecté, répétitif, romantique à souhait, à un point où il ne me fait plus d'effet. Mêmes les états d'espritdes protagonistes devenait redondant (mais, m'aime-t-il? vais-je résister...), bref, cette "love affair" m'a plus souvent énervée que séduite.

Je n'ai pas retrouvé le côté épique, magistral, grandiose, fascinant, captivant, passionnant, brethtaking, amazing, page turner de ma toute première lecture de Katherine Scholes : La reine des pluies que je vous recommande plus que chaudement !

Et, alors que je lisais Les amants de la terre sauvage, je me demandais pourquoi l'éditeur français avait fait preuve d'un tel mauvais goût dans le choix du titre (même si le titre d'origine version Australie n'est guère mieux : La femme du chasseur). Mais au moins, il correspondait à l'histoire, puisque nous suivons tout de même l'évolution intéressante de cette femme de chasseur qui s'affranchit en l'absence de son époux, qui prend les choses en mains et découvre en elle des ressources insoupçonnées.

Ah oui, rions un peu. J'ai tout de même fantasmé pendant ma lecture en me faisant midinette et en mettant sur Peter, le bel acteur australien aux dents blanches et au pectoraux velus juste comme il faut et bombés sans déborder, le visage de son homologue Hugh Jackman. Ca, ça m'a vraiment aidé à mieux apprécier le roman ! Et je ne serais pas étonnéeque katherine Scholes se soit inspirée de lui...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les avis de Saxaoul, Catherine, Keisha, Joelle

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Littérature d'ailleurs

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Publié le 1 Juin 2012

Tome 7 : LEVE TOI ET MEURS

 

BD, Editions Dupuis, 48 pages, 11.95 €

 

 

Parution en 1995

 

Fournisseur : La bib'

 

 

L'histoire : New York. Soda habite au 23ème étage d'un immeuble, avec Mary, sa mère au coeur fragile. Pour épargner cette dernière, il lui fait croire qu'il est pasteur.... C'est ainsi qu'il part déguisé tous les matins, avant d'enfiler sa vraie tenue dans l'ascenseur... En vérité, SODA est flic, l'un des meilleurs de la grosse pomme.

Et dans ce tome, il semble que la cible, et bien ce soit Soda lui même !

 

 

 

 

 

 

Mon humble avis : Voici un SODA qui pétille bien, un bon cru. Même s'il est moins léger que les précédents. Point d'humour, si ce n'est dans le bureau du chef toujours en prise avec ses animaux "domestiques".En effet, la dure réalité rejoint le commissariat de Soda.... Mais je n'en dirais pas plus...

Quoiqu'il en soit, le narrateur de ce tome se définit lui même comme une ordure. Et l'on comprend vite que sa cible, c'est le lieutenant SODA. Pourquoi et commun, ça c'est la question ? Mais il est prêt à tout pour atteindre son but. D'ailleurs, le suspens est garanti car au cours de cet épisode, on en vient à se demander si cette ordure en est vraiment une et si son combat de serait pas grandement légitime. Bref, les auteurs ont glissé un réel doute sur l'un des principaux protagoniste, et c'est une nouveauté, je dirais. Par contre, on ignore toujours pourquoi il manque deux doigts à notre flic. Quant à son mensonge envers sa castratrice maman, et bien ça ne m'étonnerait pas qu'il prenne bientôt l'eau. En tous cas, quelqu'un est entré dans la maison....

Le scénario est vraiment bien construit, le sujet de la peine de mort est évoquéet manifestement, on aborde un nouveau tournant dans cette série qui devient plus grave. Enfin, c'est en tout cas ce que je suppute. La suite nous me donnera tort ou raison !!!

 

 

 

 

 TOME 8 : TUEZ EN PAIX

BD, Editions Dupuis, 46 pages, 11.95 €

 

Parution en novembre 1996

 

L'histoire : Quand on exerce le métier de flic, comme Soda, il est normal de se faire des ennemis. Mais lorsqu'il s'agit d'un des plus gros chefs de la mafia, le flic le plus vertueux de New York risque gros. Très gros. Aussi gros que la tête de sa mère. Car voilà que sur Internet, un contrat est lancé : tuer la douce maman de Soda. Une armada de tueurs à gages est lancée à ses trousses. Elle qui est cardiaque et qui ignore tout de la double vie de son fils risque bien de ne pas survivre à cet album.

 

 

 

Mon humble avis : Distraction, humour et suspens sont toujours au rendez vous de cet album. Le danger s'approche de plus en plus, puisque cette fois ci, c'est un contrat sur la mère de Soda qui est lancé par un très méchant monsieur !!!!

Notre Soda ne sait donc plus où donner de la tête, surtout que Mary c'est enfin décidé à sortir de l'appartement, au moment ou pour de vrai, il y a danger. Tout cela donne de nombreuses scènes où l'on se dit "Ouf".

Par contre... L'affluence de chasseurs de prime et leurs méthodes ne sont pas toujours bien nettes. Tout comme les dessins.... Dans les premières pages, la veille que je suis a eu un certain mal à comprendre le déroulement de l'action en l'absence de bulles. Bref, un peu de concentration est nécessaire et des yeux bien ouverts !

Mais le plaisir était bien sûr au rendez vous.

On sent que l'étau lié à son mensonge commence à bien se resserer autour de Soda. La fin approche.... Disons que l'on est plus proche de la fin que du début !

 

 

 

Tome 9 : Et délivre-nous du mal

BD - Editions Dupuis - 49 pages -  12 €

 

Parution en novembre 1997

 

 

L'histoire : David Salomon, notre pseudo pasteur est vrai flic, quitte New York avec Mary, sa mère. Direction : Providence, en Arizona, pour se recueillir sur la tombe de feu son père, 3 ans après sa mort... Un voyage qui ne sera pas de tout repos...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mon humble avis : Changement de décors ! Nous quittons les rues glauques de New York pour une traversée en bus des Etats-Unis. Dans les paysages, des stations essences désertes, des cactus et au loin, Monument Valley ! Soda espère bien pouvoir enfin trouver l'occasion de révéler sa véritable profession à sa vieille mère ! Qu'en sera -t-il ? Sur place, son arrivée ne passe pas inaperçu et Soda doit faire face à une bande de malfrats pensant que celui ci est venu venger la mort de son père...

Ce tome se lit très vite, l'enquête est plutôt secondaire. L'ensemble est plutôt prétexte à sortir Soda de New York, donc à donner un autre élan au récit. Et puis surtout, en en apprend beaucoup, beaucoup plus sur ce fameux père défunt... Il est question aussi d'une hospitalisation de Soda... pour sa main... Un tome qui se lit sans déplaisir et qui nous fait faire un pas de plus vers le dénouement qui approche !

 

 

 

Tome 10 : ET DIEU SEUL LE SAIT

BD - Editions Dupuis - 46 pages -  12 €

 

Parution en Février 1999

 

 

 

L'histoire : Avec la Caporal Tchaïkowski, Soda est chargé de transféré un dangereux criminel.... Mais sur leur trajet, ils sont attendus par un complice de ce dernier. Tout part en vrille...

 

 

Mon humble avis : Je n'irai pas par 4 chemins. Le tome précédent m'avait réjouie, on en apprenait plus sur Soda, son père. On se sentait approcher de la fin. Ici, c'est pour moi un épisode bouche trou, qui n'apporte rien, à part deux ou  sourires (pas si mal vous me direz). La seule originalité, c'est que dans ce tome, Soda devient amnésique et se prend vraiment pour un pasteur.

Mais l'ensemble des dessins m'est paru désordonné et des situations peu approfondies et franchement issue de trop grosses coincidences.

Bon, la suite s'il vous plait !

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #BD...

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Publié le 31 Mai 2012

Une  chanson que j'adore. A l'entendre à la radio, j'étais persuadée qu'elle était chantée par Sting, tant la voix lors des refrains est similaire à celle du célèbre chanteur britanique. Je me suis dit, cela est peut-être un inédit de l'époque du groupe Police.

Et bien non, cette chanson est celle de ce jeune homme, Gotye. Comme j'ai découvert récemment le plaisir et la simplicité du téléchargement LEGAL, je me suis fait un plaisir à l'ajouter sur mon MP4 et ne me gène pas pour l"écouter en boucle....

 

 

Bonne écoute, et si ça vous plait, n'hésitez pas à vous pencher sur l'album...

Somebody That I Used To Know

Now and then I think of when we were together
Like when you said you felt so happy http://lyricstranslate.com you could die
Told myself that you were right for me
But felt so lonely in your company
But that was love and it's an ache I still remember

You can get addicted to a certain kind of sadness
Like resignation to the end
Always the end
So when we found that we could not make sense
Well you said that we would still be friends
But I'll admit that I was glad that it was over

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know

Now and then I think of all the times you screwed me over
But had me believing it was always something that I'd done
And I don't wanna live that way
Reading into every word you say
You said that you could let it go
And I wouldn't catch you hung up on somebody that you used to know...

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know

Somebody...

I used to know
That I used to know

Somebody...

Now you're just somebody that I used to know



français

Quequ'un que j'ai connu

De temps en temps je repense à quand nous étions ensemble
Genre, quand tu a dit que tu étais heureuse à en mourir
Je me suis dit que tu étais celle qu'il me fallait
Mais je me sentais si seul en ta compagnie
Mais c'était de l'amour et c'est une douleur dont je me souviens toujours

On peut devenir accro à une certaine forme de tristesse
Comme la résignation à la fin
Toujours la fin
Alors quand on s'est rendu compte que ça ne nous menait à rien d'être ensemble
Et bien tu as dit que l'on pourrait toujours être amis
Mais je t'avouerai que j'étais content que ce soit la fin

Mais ce n'était pas la peine de couper les ponts
De faire croire que ce n'était jamais arrivé
Et comme s'il n'y avait jamais rien eu entre nous
Et je n'ai même pas besoin de ton amour
Mais tu me traites comme un étranger
C'est si cruel
Tu n'avais pas à t'abaisser jusque là
Jusqu'à envoyer tes amis récupérer tes CDs
Et puis changer de numéro
Ceci-dit, j'imagine que je n'en ai pas besoin
Maintenant tu es juste quelqu'un que j'ai connu
Maintenant tu es juste quelqu'un que j'ai connu
Maintenant tu es juste quelqu'un que j'ai connu

De temps en temps je repense à toutes les fois où tu m'as bien eu
Mais tu me faisais croire que c'était toujours de ma faute
Et je ne veux pas vivre de cette façon
Interpréter chaque mot que tu dis
Tu disais que tu pouvais arrêter
Et que je ne te surprendrais pas à être obsédé par quelqu'un que tu as connu...

Mais ce n'était pas la peine de couper les ponts
De faire croire que ce n'était jamais arrivé
Et comme s'il n'y avait jamais rien eu entre nous
Et je n'ai même pas besoin de ton amour
Mais tu me traites comme un étranger
C'est si cruel
Tu n'avais pas à t'abaisser jusque là
Jusqu'à envoyer tes amis récupérer tes CDs
Et puis changer de numéro
Ceci-dit, j'imagine que je n'en ai pas besoin
Maintenant tu es juste quelqu'un que j'ai connu

Quelqu'un...

Que j'ai connu
Que j'ai connu

Somebody That I Used To Know

Now and then I think of when we were together
Like when you said you felt so happy you could die
Told myself http://lyricstranslate.com that you were right for me
But felt so lonely in your company
But that was love and it's an ache I still remember

You can get addicted to a certain kind of sadness
Like resignation to the end
Always the end
So when we found that we could not make sense
Well you said that we would still be friends
But I'll admit that I was glad that it was over

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know

Now and then I think of all the times you screwed me over
But had me believing it was always something that I'd done
And I don't wanna live that way
Reading into every word you say
You said that you could let it go
And I wouldn't catch you hung up on somebody that you used to know...

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know

Somebody...

I used to know
That I used to know

Somebody...

Now you're just somebody that I used to know

Somebody That I Used To Know

Now and then I think of when we were together
Like when you said you felt so happy you could die
Told myself http://lyricstranslate.com that you were right for me
But felt so lonely in your company
But that was love and it's an ache I still remember

You can get addicted to a certain kind of sadness
Like resignation to the end
Always the end
So when we found that we could not make sense
Well you said that we would still be friends
But I'll admit that I was glad that it was over

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know

Now and then I think of all the times you screwed me over
But had me believing it was always something that I'd done
And I don't wanna live that way
Reading into every word you say
You said that you could let it go
And I wouldn't catch you hung up on somebody that you used to know...

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know

Somebody...

I used to know
That I used to know

Somebody...

Now you're just somebody that I used to know

Somebody That I Used To Know

Now and then I think of when we were together
Like when you said you felt so happy http://lyricstranslate.com you could die
Told myself that you were right for me
But felt so lonely in your company
But that was love and it's an ache I still remember

You can get addicted to a certain kind of sadness
Like resignation to the end
Always the end
So when we found that we could not make sense
Well you said that we would still be friends
But I'll admit that I was glad that it was over

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know

Now and then I think of all the times you screwed me over
But had me believing it was always something that I'd done
And I don't wanna live that way
Reading into every word you say
You said that you could let it go
And I wouldn't catch you hung up on somebody that you used to know...

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know

Somebody...

I used to know
That I used to know

Somebody...

Now you're just somebody that I used to know



français

Quequ'un que j'ai connu

De temps en temps je repense à quand nous étions ensemble
Genre, quand tu a dit que tu étais heureuse à en mourir
Je me suis dit que tu étais celle qu'il me fallait
Mais je me sentais si seul en ta compagnie
Mais c'était de l'amour et c'est une douleur dont je me souviens toujours

On peut devenir accro à une certaine forme de tristesse
Comme la résignation à la fin
Toujours la fin
Alors quand on s'est rendu compte que ça ne nous menait à rien d'être ensemble
Et bien tu as dit que l'on pourrait toujours être amis
Mais je t'avouerai que j'étais content que ce soit la fin

Mais ce n'était pas la peine de couper les ponts
De faire croire que ce n'était jamais arrivé
Et comme s'il n'y avait jamais rien eu entre nous
Et je n'ai même pas besoin de ton amour
Mais tu me traites comme un étranger
C'est si cruel
Tu n'avais pas à t'abaisser jusque là
Jusqu'à envoyer tes amis récupérer tes CDs
Et puis changer de numéro
Ceci-dit, j'imagine que je n'en ai pas besoin
Maintenant tu es juste quelqu'un que j'ai connu
Maintenant tu es juste quelqu'un que j'ai connu
Maintenant tu es juste quelqu'un que j'ai connu

De temps en temps je repense à toutes les fois où tu m'as bien eu
Mais tu me faisais croire que c'était toujours de ma faute
Et je ne veux pas vivre de cette façon
Interpréter chaque mot que tu dis
Tu disais que tu pouvais arrêter
Et que je ne te surprendrais pas à être obsédé par quelqu'un que tu as connu...

Mais ce n'était pas la peine de couper les ponts
De faire croire que ce n'était jamais arrivé
Et comme s'il n'y avait jamais rien eu entre nous
Et je n'ai même pas besoin de ton amour
Mais tu me traites comme un étranger
C'est si cruel
Tu n'avais pas à t'abaisser jusque là
Jusqu'à envoyer tes amis récupérer tes CDs
Et puis changer de numéro
Ceci-dit, j'imagine que je n'en ai pas besoin
Maintenant tu es juste quelqu'un que j'ai connu

Quelqu'un...

Que j'ai connu
Que j'ai connu

Somebody That I Used To Know

Now and then I think of when we were together
Like when you said you felt so happy you could die
Told myself http://lyricstranslate.com that you were right for me
But felt so lonely in your company
But that was love and it's an ache I still remember

You can get addicted to a certain kind of sadness
Like resignation to the end
Always the end
So when we found that we could not make sense
Well you said that we would still be friends
But I'll admit that I was glad that it was over

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know

Now and then I think of all the times you screwed me over
But had me believing it was always something that I'd done
And I don't wanna live that way
Reading into every word you say
You said that you could let it go
And I wouldn't catch you hung up on somebody that you used to know...

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know

Somebody...

I used to know
That I used to know

Somebody...

Now you're just somebody that I used to know

Somebody That I Used To Know

Now and then I think of when we were together
Like when you said you felt so happy you could die
Told myself http://lyricstranslate.com that you were right for me
But felt so lonely in your company
But that was love and it's an ache I still remember

You can get addicted to a certain kind of sadness
Like resignation to the end
Always the end
So when we found that we could not make sense
Well you said that we would still be friends
But I'll admit that I was glad that it was over

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know

Now and then I think of all the times you screwed me over
But had me believing it was always something that I'd done
And I don't wanna live that way
Reading into every word you say
You said that you could let it go
And I wouldn't catch you hung up on somebody that you used to know...

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know

Somebody...

I used to know
That I used to know

Somebody...

Now you're just somebody that I used to know

Somebody That I Used To Know

Now and then I think of when we were together
Like when you said you felt so happy you could die
Told myself http://lyricstranslate.com that you were right for me
But felt so lonely in your company
But that was love and it's an ache I still remember

You can get addicted to a certain kind of sadness
Like resignation to the end
Always the end
So when we found that we could not make sense
Well you said that we would still be friends
But I'll admit that I was glad that it was over

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know
Now you're just somebody that I used to know

Now and then I think of all the times you screwed me over
But had me believing it was always something that I'd done
And I don't wanna live that way
Reading into every word you say
You said that you could let it go
And I wouldn't catch you hung up on somebody that you used to know...

But you didn't have to cut me off
Make out like it never happened
And that we were nothing
And I don't even need your love
But you treat me like a stranger
And that feels so rough
You didn't have to stoop so low
Have your friends collect your records
And then change your number
I guess that I don't need that though
Now you're just somebody that I used to know

Somebody...

I used to know
That I used to know

Somebody...

Now you're just somebody that I used to know

Et si vous ne "causez" ou "understandez" pas bien l'anglais ou que vous voulez comprendre la chanson en Franaçais, voici un lien vers la traduction :

http://lyricstranslate.com/fr/somebody-i-used-know-quequun-que-jai-connu.html

En gros, ça parle d'une rupture amoureuse. Vous savez, le genre de rupture où l'on fait un constat commun d'échec et où l'on se dit, "On reste amis hein !," Moi, je pense que quand l'amour est passé par là, l'amitié retrouve rarement sa place... et ainsi, tout est effacé. Ne restent que des souvenirs, ou des regrets, voire rien du tout....

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #musique - chanson

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Publié le 29 Mai 2012

Roman - Editions Pocket - 292 pages - 7 €

 

 

Parution en pocket en mai 2011

 

 

4ème de couv : Et si l'adulte que vous êtes devenu rencontrait l'enfant que vous étiez ? Enfant, il vole les ombres de ceux qu'il croise... et chacune de ces ombres lui confie un secret. Malgré lui, il entend les rêves, les espoirs et les chagrins de deux qu'il aime. Que faire de cet étrange pouvoir... ? Quelques années plus tard, le « voleur d'ombres » est devenu étudiant en médecine... Est-il encore capable de deviner ce qui pourrait rentre heureux ses proches, comme Sophie avec laquelle il étudie la médecine, ou Luc, son meilleur ami, qui voudrait changer de vie ? Et lui, sait-il où le bonheur l'attend ? Amour d'une mère. Inoubliable premier amour. Amour qui s'achève... Amitié longue comme la vie... Le voleur d'ombres est une histoire d'amour au pluriel.

 

 

 

 

Tentation : La 4ème + envie de légèreté

Fournisseur : Achat compulsif de moi même !

 

 

 

 

 

étoile1etdemi

 

 

Mon humble avis :La douceur de la couverture, la 4ème de couv, l'approche des vacances et l'envie d'un livre doudou furent autant d'arguments pour acheter ce livre et vite le glisser dans mes valises.

"Et si l'adulte que vous êtes devenu rencontrait l'enfant que vous étiez ? Enfant, il vole les ombres de ceux qu'il croise"...

L'introduction de cette 4ème était si prometteuse de rêve, d'un soupçon de paranormal, de rencontre entre l'adulte et l'enfant.... Je pensais retrouver l'originalité, l'onirisme, la fantaisie et le suspens des premiers Levy qui avaient été vraiment source de plaisir pour moi.

Comme vous le voyez, je m'exprime à l'imparfait.... A quelques passages près, ma lecture ne m'a pas captivée. Il y avait pourtant matière à une chouette histoire et bien non. Rien n'est exploité, approfondi, abouti. Aussi, j'ai lu une histoire d'une platitude assez agaçante, sans rebondissement, ni coup de théâtre final. Rien. Au point que la 4ème de couv m'est parue publicité mensongère (vous me direz, ce n'est pas une première). A part pléthore de bons sentiments, je n'ai pas trouvé beaucoup de vraies émotions, ni même la légèreté recherchée. Quelques jours après, j'ai l'impression que même l'auteur ne croyait pas plus que ça à son histoire pour ne pas l'avoir plus travaillée. C'est une suite d'ingrédients sensés efficaces (ceux de Marc Levy sont tout de même reconnus), sans sauce ni cuisson. Bref, je suis déçue et je pense que je vais reprendre ma distance envers Marc Levy. Autant en lisant le Musso de l'an dernier, j'avais décelé le véritable respect et le plaisir de l'auteur d'écrire pour ses lecteurs, autant ce voleur d'âmes me fait l'effet d'une imposture. En tout cas, il m'a franchement volé mon temps !

 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Littérature française

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